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Dialogue entre majorité et opposition : A l’heure des préalables

26 septembre 2014, 13:06, par Ka

Pas de doute c’est la réplique de la même situation nationale que celle du 13 décembre 1998, même si ce n’est pas un crime qui a été commis comme celui de Norbert zongo, la modification de l’article 37 et le referendum bidon sont au-dessus des crimes pour un Burkina qui tienne à son alternance politique : et dans les prochains jours, les rues auront leurs sauces comme ce fut le 15 décembre 1998, les élèves et les étudiants manifestaient par milliers dans les rues appuyer par le collectifs des organisations démocratique de masse et des partis politiques composé du mouvement des droits de l’homme et des peuples du(MBDHP), de la puissante confédération général du travail-Burkinabé (CGT-B) plus d’un groupe d’avocats, d’association des journalistes, de partis politique d’opposition et diverses autre organisations. Pendant un mois comme maintenant, une partie de bras de fer, ponctuée de journées de manifestation ou de grèves oppose le collectif au pouvoir, comme le front républicain d’Herman Yameogo à nos jours. Mais Mr. Blaise Compaoré sachant coupable et de trahison a son peuple, il décide avec son gouvernement d’accepter certains préalables des oppositionnels dont j’étais témoins : libération des personnes comme moi emprisonnées après les manifestations, et le levée des sanctions prises contres certaines personnes : réouverture des discutions et de dialogue comme ce 25 09. 14. Ce n’est qu’après le haussé de ton du conseil des sages notre référence de démocratie qui avaient les mêmes âges que Bila Compaoré le père de Blaise Compaoré, et qui avaient tranché le début en ces termes dans leur rapport du 30 juillet 1999 a la page 14, au titre des recommandations paragraphe2.2.2.2. : respectez les règles du jeu démocratique et accepter le principe de l’alternance politique tant au niveau des institution que des partis politiques, et dans leurs propositions de solution finale, à la page 16, au paragraphe 2.3.1, les sages ont demandé ceci : Revenir sur la modification de l’article 37 de la constitution et de réintroduire le principe de la limitation à deux mandats présidentiels consécutifs conforme à l’alinéa 164 alinéa 3 de la constitution qui touche a un point capitale pour notre jeune démocratie : le principe de l’alternance politique est rendu obligatoire par le texte constitutionnel de 1991. Tous ceux-ci ont été signé et accepter par le président Blaise Compaoré avec sa parole donné aux sages de quitter le pouvoir après ses deux mandats. A mon avis si le président a le courage d’ATT, ou le capitaine Ghanéen R.., ou fier d’un vrai Burkinabé fils de Bila Compaoré le courageux ancien combattant comme le mien, doit respecter sa parole et quitter le pouvoir pour une alternance apaisé au bonheur de la jeunesse intellectuel qui veut s’exprimer.


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