Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Dialogue politique national : les leaders politiques en guest-stars
26 septembre 2014, 11:02, par
N
Oui pour le dialogue entre l’opposition et le pouvoir, mais, le respect de la constitution d’abord.
Sommes-nous dans un dialogue qui permettra de dresser le bilan du président Compaoré, afin de lui préparer une sortie honorable ? Ou sommes-nous dans un dialogue focalisé sur une éventuelle modification de l’article 37 de notre constitution et par ricochet la mise en place du sénat ?
A mon avis, ces deux questions mériteraient d’être posées, dans le sens où si chaque parti venait au dialogue dans le but de défendre leurs positions tranchés. Par ailleurs, l’opposition, en plus de défendre l’article 37 et la mise en place du sénat, devrait pouvoir faire des propositions allant dans le sens à rassurer le camp adverse.
Aussi, le camp du pouvoir pourrait dans l’intérêt de leur parti et de leurs militants poser des bases qui permettraient au CDP de conserver le pouvoir, même sans leur président actuel, surtout qu’ils en ont les moyens.
En fin, cela permettrait d’avoir une continuité des projets du président du Faso pour le bonheur de tous les Burkinabés.
Oui pour le dialogue entre l’opposition et le pouvoir, mais, le respect de la constitution d’abord.
Sommes-nous dans un dialogue qui permettra de dresser le bilan du président Compaoré, afin de lui préparer une sortie honorable ? Ou sommes-nous dans un dialogue focalisé sur une éventuelle modification de l’article 37 de notre constitution et par ricochet la mise en place du sénat ?
A mon avis, ces deux questions mériteraient d’être posées, dans le sens où si chaque parti venait au dialogue dans le but de défendre leurs positions tranchés. Par ailleurs, l’opposition, en plus de défendre l’article 37 et la mise en place du sénat, devrait pouvoir faire des propositions allant dans le sens à rassurer le camp adverse.
Aussi, le camp du pouvoir pourrait dans l’intérêt de leur parti et de leurs militants poser des bases qui permettraient au CDP de conserver le pouvoir, même sans leur président actuel, surtout qu’ils en ont les moyens.
En fin, cela permettrait d’avoir une continuité des projets du président du Faso pour le bonheur de tous les Burkinabés.