Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Dialogue politique : L’opposition attend les termes de référence
25 septembre 2014, 10:51, par
Ka
Même si le présidente va écouter les arguments d’Herman avec ses magouilles d’homme-orchestre de la politique Burkinabé, et user toute sa ruse pour saboter ce dialogue de vie ou de mort pour un peuple en agonie de soif d’alternance, un bon combat pour une juste cause a toujours eu le dessus car la machine de l’alternance est en bonne marche : Si ce n’est pas aujourd’hui, ça sera demain, car Dieu est le seule capable de faire ce qui est juste. Je demande au CFOP de ne pas lâcher leur refus ferme de la modification de l’article 37 qui sera le moteur du développement de notre pays. Que tous les responsables des partis d’opposition, reprennent le bâton du pèlerin, et continuer la traverser du Burkina et le monde entier, en tant que des intellectuels et économistes acharnés comme ADO et son équipe en Cote d’Ivoire, pour faire comprendre à la jeunesse Africaine de la diaspora, que dans 50 ans, l’Afrique sera la vrai locomotive du monde avec ses 3 milliards d’habitants, et que c’est maintenant que commence l’alternance politique pour aboutir à la bonne gouvernance, et non celui des dictateurs sanguinaires qui veulent s’éterniser au pouvoir et retarder l’avancement de leur pays. Depuis fort longtemps les intellectuels Burkinabé jeunes ou âgés, ont appréhendés la dictature du président Blaise Compaoré : c’est le moment que le Burkina retrouve la paix et son émergence avec une alternance politique apaisé.
Même si le présidente va écouter les arguments d’Herman avec ses magouilles d’homme-orchestre de la politique Burkinabé, et user toute sa ruse pour saboter ce dialogue de vie ou de mort pour un peuple en agonie de soif d’alternance, un bon combat pour une juste cause a toujours eu le dessus car la machine de l’alternance est en bonne marche : Si ce n’est pas aujourd’hui, ça sera demain, car Dieu est le seule capable de faire ce qui est juste. Je demande au CFOP de ne pas lâcher leur refus ferme de la modification de l’article 37 qui sera le moteur du développement de notre pays. Que tous les responsables des partis d’opposition, reprennent le bâton du pèlerin, et continuer la traverser du Burkina et le monde entier, en tant que des intellectuels et économistes acharnés comme ADO et son équipe en Cote d’Ivoire, pour faire comprendre à la jeunesse Africaine de la diaspora, que dans 50 ans, l’Afrique sera la vrai locomotive du monde avec ses 3 milliards d’habitants, et que c’est maintenant que commence l’alternance politique pour aboutir à la bonne gouvernance, et non celui des dictateurs sanguinaires qui veulent s’éterniser au pouvoir et retarder l’avancement de leur pays. Depuis fort longtemps les intellectuels Burkinabé jeunes ou âgés, ont appréhendés la dictature du président Blaise Compaoré : c’est le moment que le Burkina retrouve la paix et son émergence avec une alternance politique apaisé.