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Dialogue politique : Le CDP en visite de courtoisie à l’UPC

8 septembre 2014, 22:51, par Ka

Mon cher Köro nous sommes de la vieille école, et je si puisse te dire, des vieux encadreurs agricole et enseignants que nous étions, et que la reforme agraire de la révolution dont le ministre du travail Toé nous a remercié avec raison pour permettre aux jeunes de pouvoir s’exprimer pour que la Haute Volta devenu Burkina Faso puisse avancer, et notre sagesse a fait des bonne choses pour mettre ces durs D’assimi, Yoda, plus les plus modérés et très intelligents du groupe Ludo Tou, et autres, de se regrouper avec leurs microns –partis qui a accouché un parti appeler CDP : les modérés ont pris les dents des durs dont leurs mâchoires ne possédaient que des gencives sans danger, voilà les ASSIMI avec des idées du PCRV se sont calmer derrière les modérés pour former une bonne équipe et propulsé avec douleur et amertume, sans le choix, leur représentant Blaise Compaoré qui sans formation politique, mais avait le pouvoir dans ses deux mains. Il fallait mettre les durs endormis comme Assimi et Yoda et tant d’autres sans dents, en arrière plans pour pouvoir formé une bonne équipe dont les vrais politique qui avaient de psychologie et de sociologie comme Tou et Salif étaient les meneurs de cette bonne équipe derrière leur représentant qui est le capitaine Blaise Compaoré le complexe et caméléon dont personne ne sait ce qu’il fera dans la seconde a venir ou dans les heures , ou dans les jours, ou dans les années à venir, cette complexité a forcé toute l’équipe à faire des bonnes actions pour le peuple, et non ce qui est mieux pour eux –même. Mon Köro cette équipe de première génération CDP ne savait pas ce que c’est de la corruption, vu qu’ils viennent d’être avertis par les tribunaux populaire de la révolution. Tout le peuple Burkinabé était derrière cette bonne équipe qui avait un seul mot d’ordre d’organisation donner par ses meneurs dont je cite quelques noms,Tou Salif, Simon, et un des plus Jeune Achille : Je me rappelle a Banfora fief de Tou, les deux devant la foule dire : ‘’’’’’ Soutenir un pouvoir n’est pas soutenir un seul individu, mais les actions concrètes, et les bonnes actions que cette même pouvoir entreprend par l’intermédiaire de son représentant. De 1997 en 2007 cette équipe a eu des engagements qui ont été réalisés avec succès, cette équipe faisait ce qui est mieux pour le peuple et non ce qui est mieux pour eux, ou pour une seule personne et sa famille comme fait l’équipe ASSimi Kouanda et Alain Yoda, le français qui veut décider en minorité pour 16 millions d’habitants, ce que j’appelle une mauvaise équipe et mérite la CPI. Cette équipe a profité du relâchement du président Compaoré pour ouvrir la corruption à ciel ouvert dont leur représentant ne contrôle plus, ce qui est très dangereux pour un pauvre pays comme le nôtre. Mon analyse d’un vieux routier de la politique Burkinabé, le chef de l’état a compris les cries du peuple et la communauté internationale. Si ce n’est pas le cas, Assimi ne s’aventurera pas devant un opposant de Blaise de son vivant, quand a Alain le Français, lui il joue sa vrais face de français caméléon, et si ça ne va pas, il prend son Phone, et appelle au secours a la France, et jette le passe port Burkinabé dans la poubelle. Mon Köro, on se connait, tu as toujours critiqué le pouvoir comme tu veux, sans problème, je ne sais vraiment quel bord tu es ? Moi j’ai une autre analyse que toi. J’ai toujours été contre le pouvoir a vie, et j’e lutte pour une alternance apaisé pour une paix au Burkina, et quelques cedepistes avec des dents d’hyènes me menacent de mort : mais je crois que le président Blaise Compaoré veut sortir par la grande porte, même si ce n’est pas la grande porte, ça sera à la façon du General de Gaule qui a compris la situation de son pays, et partir se reposer après avoir dialogué avec son peuple et son opposition. Mon analyse est que le président a pris du recul pour écouter son peuple à travers l’opposition comme en 1999 avec le conseil des sages qui s’appelle un dialogue. Sans le dialogue le pays du médiateur de renommé internationale va en suicide. Qu’on n’a confiance, ou pas, le dialogue entre le présidente et son peuple à commencer par la visite des deux acolites de la nouvelle génération du CDP a l’opposition, c’est déjà un pas. Même s’il a un referendum qui sera automatiquement truqué par les malfrats du CDP, ne sera pas une victoire sans le dialogue et la compréhension du peuple dans ce même dialogue. Oui mon vieux Köro, le vrais dialogue a commencé. Sans le respect de l’article 37, et le dialogue avec la compréhension de tout en chacun pour le maintenir, en 2015 le Burkina sera à feu et à sang.


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