Le CFOP chez le Cardinal Philippe Ouédraogo : réaffirmer les positions politiques sur les questions de l’heure
3 septembre 2014, 13:31, par
Salam DONDASSE
Ce qui arrive à mon pays n’est pas extraordinaire !
Chers compatriotes burkinabés. Ne soyez point apeurés ou craintifs de ce qui arrive à notre pays ou de ce qui lui arrivera dans les temps à venir. Pour moi, le BF est à la recherche de sa personnalité, je veux dire de ce qu’il veut être pour ses filles et fils et pour le reste du monde.
La recherche d’une personnalité respectable te respectée ne s’acquiert généralement que dans la douleur. Au niveau individuel lorsque l’on veut se faire respecter, il faudra avant tout engager un combat ferme et constant contre soi-même avant d’espérer tout respect venant d’autrui. Ce combat passe par le travail bien fait, la défense de la justice, une implication dans les activités et évènements sociaux de sa communauté, et j’en passe. Tant que vous n’auriez pas réussi cela, vous ne conquerriez point le cœur de votre famille ni de votre peuple.
Chers frères sœurs et frères, ainsi va le combat national avec en ligne de mire l’indépendance et le progrès. Aucun pays avant le nôtre n’a atteint ce point culminant sans que ses enfants n’aient eu à se mesurer d’abord soit soit avec les idées ou les muscles. Malheureusement, l’histoire de toutes les grandes nations nous apprend que se sont les armes qui ont servi d’argument et de socle pour leur grandeur. En guise d’exemples, la France est passé par de nombreuse révolutions, les USA sont passé par une révolution, une guerre d’indépendance et de nombreuse guerres internes avant de devenir ce que nous voyons, aimons, respectons aujourd’hui. L’Afrique du Sud, le Nigéria sont d’autres exemples de réussite en devenir.
Juste pour dire que ce qui arrivera à mon pays, s’il est voulu et mené par ses enfants sans des mains extérieures qui nous actionnerons comme des marionnettes, nous conduira vers la grandeur. Une grandeur sans frayeur n’existe pas et n’existera pas. Même les envoyés de Dieu (Jesus, Mohamet"PS") n’ont pas échappé à règle.
Affrontons notre destin avec responsabilité sans aucune compromission. "Se mesurer amène le respect et l’entente durable", c’est un constat au regard de l’histoire.
Pourquoi voulons-nous vaincre facilement ?
Pourquoi voulons- nous de vrais changements sans choc ?
La porte du paradis s’ouvria-elle à nous si nous voulons tout faire et suivre tout ?
Nous n’irons pas au paradis si nous ne menons pas de luttes.
Je souhaite que le Président Compaoré et le CDP persistent dans leur "oui" aussi longtemps et que Zéphirin DIABRE et l’Opposition politique résiste autant dans leur "non." Ainsi nous pourrons nous mesurer et produire du respect et des textes durables et inviolables. A vaincre sans péril nous ne pèterons pas grande attention à ce que aurions acquis.
Ce qui est octroyé ou acquis facilement bazarde facilement et se défend difficilement. Deux auteurs américains écrivent que "Aucune Constitution n’a de valeur si le peuple et ses dirigeants ne sont pas persuadé qu’il faut l’observer, veiller à son maintien comme à sa protection."
N’ayons donc pas peur la "persistance" et la "résistance" prouvent que que nous sur la bonne voie.
Vive les luttes !!!!
Ce qui arrive à mon pays n’est pas extraordinaire !
Chers compatriotes burkinabés. Ne soyez point apeurés ou craintifs de ce qui arrive à notre pays ou de ce qui lui arrivera dans les temps à venir. Pour moi, le BF est à la recherche de sa personnalité, je veux dire de ce qu’il veut être pour ses filles et fils et pour le reste du monde.
La recherche d’une personnalité respectable te respectée ne s’acquiert généralement que dans la douleur. Au niveau individuel lorsque l’on veut se faire respecter, il faudra avant tout engager un combat ferme et constant contre soi-même avant d’espérer tout respect venant d’autrui. Ce combat passe par le travail bien fait, la défense de la justice, une implication dans les activités et évènements sociaux de sa communauté, et j’en passe. Tant que vous n’auriez pas réussi cela, vous ne conquerriez point le cœur de votre famille ni de votre peuple.
Chers frères sœurs et frères, ainsi va le combat national avec en ligne de mire l’indépendance et le progrès. Aucun pays avant le nôtre n’a atteint ce point culminant sans que ses enfants n’aient eu à se mesurer d’abord soit soit avec les idées ou les muscles. Malheureusement, l’histoire de toutes les grandes nations nous apprend que se sont les armes qui ont servi d’argument et de socle pour leur grandeur. En guise d’exemples, la France est passé par de nombreuse révolutions, les USA sont passé par une révolution, une guerre d’indépendance et de nombreuse guerres internes avant de devenir ce que nous voyons, aimons, respectons aujourd’hui. L’Afrique du Sud, le Nigéria sont d’autres exemples de réussite en devenir.
Juste pour dire que ce qui arrivera à mon pays, s’il est voulu et mené par ses enfants sans des mains extérieures qui nous actionnerons comme des marionnettes, nous conduira vers la grandeur. Une grandeur sans frayeur n’existe pas et n’existera pas. Même les envoyés de Dieu (Jesus, Mohamet"PS") n’ont pas échappé à règle.
Affrontons notre destin avec responsabilité sans aucune compromission. "Se mesurer amène le respect et l’entente durable", c’est un constat au regard de l’histoire.
Pourquoi voulons-nous vaincre facilement ?
Pourquoi voulons- nous de vrais changements sans choc ?
La porte du paradis s’ouvria-elle à nous si nous voulons tout faire et suivre tout ?
Nous n’irons pas au paradis si nous ne menons pas de luttes.
Je souhaite que le Président Compaoré et le CDP persistent dans leur "oui" aussi longtemps et que Zéphirin DIABRE et l’Opposition politique résiste autant dans leur "non." Ainsi nous pourrons nous mesurer et produire du respect et des textes durables et inviolables. A vaincre sans péril nous ne pèterons pas grande attention à ce que aurions acquis.
Ce qui est octroyé ou acquis facilement bazarde facilement et se défend difficilement. Deux auteurs américains écrivent que "Aucune Constitution n’a de valeur si le peuple et ses dirigeants ne sont pas persuadé qu’il faut l’observer, veiller à son maintien comme à sa protection."
N’ayons donc pas peur la "persistance" et la "résistance" prouvent que que nous sur la bonne voie.
Vive les luttes !!!!