Consolidation de la démocratie en Afrique : « Obama et Compaoré sont tous passés à côté de la plaque », Laurent Bado
3 septembre 2014, 11:55, par
Builder
Bonjour mon professeur, j’avoue que cette fois ci je vous reconnais pas dans vos analyses.
Je m’attendais à priori de votre part une définition claire du concept "homme fort" avant toute analyse. Le débat tel qu’il est lancé exige une prise de position c’est à dire mettre à nu le camp de la vérité.
De mon point de vue, le président américain ayant exprimé cette idée en anglais ; il y a eu une mauvaise traduction en français donnant ainsi lieu à des interprétations contradictoires .
De mon entendement, retenons tout simplement que le président américain a voulu dire que les hommes passent et les institutions restent, nous aurons donc la chance de nous développer si nos institutions sont fortes.
De ce qui précède, il n’ y aurait pas eu matière à interpréter si le président COMPAORE avait répondu qu’il n’y a pas d’institutions fortes sans des "hommes engagés"
c’est à dire des hommes au service de leur nation.
En conclusion , la polémique est née parce que l’idée du président américain a été mal traduite en français car il y a une nuance entre le mot strong en anglais et le mot fort en français et le contexte dans lequel ils sont employés joue énormément.
Bonjour mon professeur, j’avoue que cette fois ci je vous reconnais pas dans vos analyses.
Je m’attendais à priori de votre part une définition claire du concept "homme fort" avant toute analyse. Le débat tel qu’il est lancé exige une prise de position c’est à dire mettre à nu le camp de la vérité.
De mon point de vue, le président américain ayant exprimé cette idée en anglais ; il y a eu une mauvaise traduction en français donnant ainsi lieu à des interprétations contradictoires .
De mon entendement, retenons tout simplement que le président américain a voulu dire que les hommes passent et les institutions restent, nous aurons donc la chance de nous développer si nos institutions sont fortes.
De ce qui précède, il n’ y aurait pas eu matière à interpréter si le président COMPAORE avait répondu qu’il n’y a pas d’institutions fortes sans des "hommes engagés"
c’est à dire des hommes au service de leur nation.
En conclusion , la polémique est née parce que l’idée du président américain a été mal traduite en français car il y a une nuance entre le mot strong en anglais et le mot fort en français et le contexte dans lequel ils sont employés joue énormément.