Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Promotion de l’emploi des Burkinabè dans les mines : ORCADE et ses partenaires font le point du suivi de leurs recommandations
22 août 2014, 07:35, par
Lepro
Silvère,
L’expertise.
Vous vous focalisez sur le cas des géologues : le plus connu, le plus médiatisé, le plus visible. Pourquoi ? Parce que le géologue est souvent le premier sur le site de la mine et malheureusement souvent le premier compressé, en cas de crise.....
Mais je vous dirais qu’au commencement est le géologue, puis le topographe,puis l’ingénieur des mines,puis le mécanicien, puis le chimiste, puis le métallurgiste, puis le comptable, puis le juriste, avec le cuisinier, les chauffeurs, les préventionnistes, les agents communautaires, les environnementalistes, etc, etc, etc.... : les métiers de la Mine.
Le manque d’expertise burkinabè est principalement imputable à l’Etat.
Oui mais convenons qu’il est illusoire et inefficace de tout attendre de notre Etat.
Oui sans moyens , pas de matériel, pas de formation, pas de qualification, jamais d’expertise. L’Université de Ouagadougou, toutes les universités et institutions de formation, publiques comme privées DOIVENT TROUVER elles-mêmes les moyens d’accompagner le "boom" minier en produisant du personnel qualifié, et qui répond aux besoins de cette industrie particulière.
La formation pourrait être définie et validée par la Chambre des Mines, qui mieux que notre ministère des Mines, mieux que notre ministère de l’Enseignement, connait les besoins en Ressources Humaines des sociétés minières.
Mais Silvère, je sais que je prêche dans le désert. Des appétits voraces, et des intérêts contradictoires travaillent à maintenir le statu quo. Silence, on mine, on s’enrichit.....
Vivement un Burkina Faso, bien gouverné, prenant son destin en main et exploitant intelligemment ses ressources, au bénéfice de la Nation et des générations à venir.
L’Emergence est possible mais avec, et par des Hommes et des Femmes éduqués .
Silvère,
L’expertise.
Vous vous focalisez sur le cas des géologues : le plus connu, le plus médiatisé, le plus visible. Pourquoi ? Parce que le géologue est souvent le premier sur le site de la mine et malheureusement souvent le premier compressé, en cas de crise.....
Mais je vous dirais qu’au commencement est le géologue, puis le topographe,puis l’ingénieur des mines,puis le mécanicien, puis le chimiste, puis le métallurgiste, puis le comptable, puis le juriste, avec le cuisinier, les chauffeurs, les préventionnistes, les agents communautaires, les environnementalistes, etc, etc, etc.... : les métiers de la Mine.
Le manque d’expertise burkinabè est principalement imputable à l’Etat.
Oui mais convenons qu’il est illusoire et inefficace de tout attendre de notre Etat.
Oui sans moyens , pas de matériel, pas de formation, pas de qualification, jamais d’expertise. L’Université de Ouagadougou, toutes les universités et institutions de formation, publiques comme privées DOIVENT TROUVER elles-mêmes les moyens d’accompagner le "boom" minier en produisant du personnel qualifié, et qui répond aux besoins de cette industrie particulière.
La formation pourrait être définie et validée par la Chambre des Mines, qui mieux que notre ministère des Mines, mieux que notre ministère de l’Enseignement, connait les besoins en Ressources Humaines des sociétés minières.
Mais Silvère, je sais que je prêche dans le désert. Des appétits voraces, et des intérêts contradictoires travaillent à maintenir le statu quo. Silence, on mine, on s’enrichit.....
Vivement un Burkina Faso, bien gouverné, prenant son destin en main et exploitant intelligemment ses ressources, au bénéfice de la Nation et des générations à venir.
L’Emergence est possible mais avec, et par des Hommes et des Femmes éduqués .
Lepro(toujours vigilant !)