Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »
7 août 2014, 11:07, par
Wendlaboum
Notre Homme Fort est donc Faible,
Blaise aurait tout à fait raison si par "hommes forts" il entendait ceux qui sont capables après 27 ans de forcing, de léguer des mécanismes et des institutions viables. Or lui-même a reconnu dans Jeune Afrique qu’il redoute de voir le pays s’effondrer après lui. Si après 27 années notre homme fort, n’a pas encore fait émerger ces institutions fortes, on peut alors en déduire que Son Excellence Blaise Compaoré n’est pas l’homme fort dont l’Afrique a besoin. Pourquoi a-t-il choisi de faire la démonstration de cette faiblesse chez l’oncle SAM. Soit son service de COM n’a pas assez d’influence sur sa COM, son wackman lui ont annoncé qu’il vivrait 200 ans pour faire émerger un jour les institutions fortes dont le Burkina Faso a besoin.
Notre Homme Fort est donc Faible,
Blaise aurait tout à fait raison si par "hommes forts" il entendait ceux qui sont capables après 27 ans de forcing, de léguer des mécanismes et des institutions viables. Or lui-même a reconnu dans Jeune Afrique qu’il redoute de voir le pays s’effondrer après lui. Si après 27 années notre homme fort, n’a pas encore fait émerger ces institutions fortes, on peut alors en déduire que Son Excellence Blaise Compaoré n’est pas l’homme fort dont l’Afrique a besoin. Pourquoi a-t-il choisi de faire la démonstration de cette faiblesse chez l’oncle SAM. Soit son service de COM n’a pas assez d’influence sur sa COM, son wackman lui ont annoncé qu’il vivrait 200 ans pour faire émerger un jour les institutions fortes dont le Burkina Faso a besoin.