Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »
7 août 2014, 10:34, par
Ganouam
J’ai vraiment mal à mon Afrique. Dites-moi chers frères et sœurs burkinabè ou africains. Comment de temps faut-il à un homme fort pour mettre en place des institutions fortes si tant est le cas ? Ce que je retiens de nos dirigeants africains, c’est que lorsqu’il faut tendre la main, ils oublient les mots comme "souverain, indépendant, autonome". Mais lorsqu’on parle de leur mandats à la tête de leurs Etats, ça y est. Ils se souviennent de ces mots-là. Si le Burkina en 27 n’a pas pu générer d’autres hommes et des femmes fort(e)s capables d’assurer la relève, alors l’élite aura totalement échoué. Mieux vaudrait que nous tous nous en pleurions s’il nous reste un temps soit peu de dignité. Que le Tout Puissant nous sauve !
J’ai vraiment mal à mon Afrique. Dites-moi chers frères et sœurs burkinabè ou africains. Comment de temps faut-il à un homme fort pour mettre en place des institutions fortes si tant est le cas ? Ce que je retiens de nos dirigeants africains, c’est que lorsqu’il faut tendre la main, ils oublient les mots comme "souverain, indépendant, autonome". Mais lorsqu’on parle de leur mandats à la tête de leurs Etats, ça y est. Ils se souviennent de ces mots-là. Si le Burkina en 27 n’a pas pu générer d’autres hommes et des femmes fort(e)s capables d’assurer la relève, alors l’élite aura totalement échoué. Mieux vaudrait que nous tous nous en pleurions s’il nous reste un temps soit peu de dignité. Que le Tout Puissant nous sauve !