Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »
7 août 2014, 02:30, par
TAMPIN
Ainsi donc, Blaise estime que les institutions fortes ont besoin d’hommes fort pour vivre. Comme il le dit, prenons-le au mot. Il est le seul homme fort au Burkina, c’est pourquoi la Présidence (une des institutions du Faso) est très forte. Outre donc lui, qui va diriger le SENAT et l’Assemblée nationale ? Ne me dites pas que Soungalo est fort, sinon Blaise l’aurait imposé au CDP. Conséquence, supprimons ces deux institutions.
Le pouvoir judiciaire est-il fort, non selon Blaise, puisqu’il ne le dirige pas (étant en rappel le seul homme fort).
C’est quoi un homme fort ? Est-ce celui qui estime avoir le pouvoir de faire souffrir des millions d’être comme Hitler, ou est-ce celui, plein de sagesse et de bon sens qui conseil, aime son peuple et se sacrifie pour lui comme Mandela, NKrumah et Sankara. Quand l’homme fort quittera l’institution qu’elle a rendue forte, que fait-on ?
La vie humaine a toujours une fin. Et le ba-ba d’un simple manuel dit que l’homme passe, mais les institutions restent. Alors rendons les institutions fortes par des textes justes. Obama a donc raison.
Ainsi donc, Blaise estime que les institutions fortes ont besoin d’hommes fort pour vivre. Comme il le dit, prenons-le au mot. Il est le seul homme fort au Burkina, c’est pourquoi la Présidence (une des institutions du Faso) est très forte. Outre donc lui, qui va diriger le SENAT et l’Assemblée nationale ? Ne me dites pas que Soungalo est fort, sinon Blaise l’aurait imposé au CDP. Conséquence, supprimons ces deux institutions.
Le pouvoir judiciaire est-il fort, non selon Blaise, puisqu’il ne le dirige pas (étant en rappel le seul homme fort).
C’est quoi un homme fort ? Est-ce celui qui estime avoir le pouvoir de faire souffrir des millions d’être comme Hitler, ou est-ce celui, plein de sagesse et de bon sens qui conseil, aime son peuple et se sacrifie pour lui comme Mandela, NKrumah et Sankara. Quand l’homme fort quittera l’institution qu’elle a rendue forte, que fait-on ?
La vie humaine a toujours une fin. Et le ba-ba d’un simple manuel dit que l’homme passe, mais les institutions restent. Alors rendons les institutions fortes par des textes justes. Obama a donc raison.