Lycée provincial de la Léraba : Quand la non organisation d’un pot de fin d’année bloque la tenue du conseil des classes

La conviction en soi n’est pas une garantie à l’opinion publique. Les prof se trompent de cible. Ils doivent savoir que les élèves sont leurs premiers amis. Dénoncer le Proviseur doit se faire, non pas dans la passion, mais dans l’oeil syndical de telle sorte que même si l’affaire arrivait en justice, qu’ils soient accrédités par les textes. Il y a maintes canaux pour dénoncer et faire sanctionner le Proviseur : écrit à la presse, écrit au MESS, manif. en début de rentrée scolaire, etc. Mais pas prendre l’avenir des élèves en otage.

C’est une mal-gouvernance aussi que dans l’interview avec le Proviseur, il n’a fait aucun cas, d’un quelconque entretien avec les prof afin de leur expliciter la situation qui prévaut ; cela cache quelque chose d’ignoble dans sa gestion et doit par conséquent, des explications à tous les acteurs dès la rentrée. C’est dangereux aussi qu’il confonde les textes et ce qui se fait en parlant de l’apport de l’APE.En gestion financière, une rubrique est une rubrique et les confondre équivaudrait à un détournement, puni par la Loi. L’ASCE, à vos marques dans les différentes directions régionales de l’enseignement pour soulager les honnêtes citoyens.
Prof et Proviseur, pardon, les textes d’abord. Faut pas gâter nom des enseignants, des syndicats, des proviseurs au Faso pour les autres pays.