Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
15 juillet 2014, 21:05, par
abdoulah abdoulah
Un homme de pardon et de tolerance est celui là même qui est capable de pardonner et montrer de la tolérance pas seulement envers ses amis et ceux qui partagent son point de vu mais aussi evers ses ennemis et ceux qui ont des points de vue différents.
Blaise Compaore n’a en aucun moment ni dit du bien ni accepter que l’on dise du bien de Thomas Sankara même mort.
Mais si lui pense que les démissionnaires du CDP lui doivent tout, peut être plus que leur parents qui les ont donné naissance et les envoyé à l’école et aussi le dur labeur accompli par ces derniers depuis les bancs de l’école jusqu’aux différents postes qu’ils ont eu à occuper en prenant en compte tous les risques que ces gens ont pris durant ces années à ses côtés, alors celui qui n’est pas reconnaissant,c’est bien le président lui même.
Nous avons besoin au Burkina Faso d’une nouvelle vision politique, pas cette politique de règlement des comptes et sans pitié envers ses ennemis et de cantonnement de ceux qui ne partagent le même point de vu que le votre.
Abdoulah abdoulah
Un homme de pardon et de tolerance est celui là même qui est capable de pardonner et montrer de la tolérance pas seulement envers ses amis et ceux qui partagent son point de vu mais aussi evers ses ennemis et ceux qui ont des points de vue différents.
Blaise Compaore n’a en aucun moment ni dit du bien ni accepter que l’on dise du bien de Thomas Sankara même mort.
Mais si lui pense que les démissionnaires du CDP lui doivent tout, peut être plus que leur parents qui les ont donné naissance et les envoyé à l’école et aussi le dur labeur accompli par ces derniers depuis les bancs de l’école jusqu’aux différents postes qu’ils ont eu à occuper en prenant en compte tous les risques que ces gens ont pris durant ces années à ses côtés, alors celui qui n’est pas reconnaissant,c’est bien le président lui même.
Nous avons besoin au Burkina Faso d’une nouvelle vision politique, pas cette politique de règlement des comptes et sans pitié envers ses ennemis et de cantonnement de ceux qui ne partagent le même point de vu que le votre.
Abdoulah abdoulah