Circulation à Ouaga : L’intolérance, un véritable phénomène de mode
3 juillet 2014, 09:19, par
tapseureula
Très bonne analyse. Je suis d’accord avec tout votre argumentaire. C’est un problème de tolérance, de mœurs. J’ai eu la chance de circuler dans bien de capitales de la sous région et même d’ailleurs. A Yaoundé, ils ont trois fois plus de voitures en circulation et trois fois moins de feu tricolores, mais la circulation est propres parce que les gens sont tolérants. Rappelez-vous que quand les allemands ont envahi Londres et que les armes crépitaient en pleine ville, les gens respectaient toujours les stops. Ici, la première goutte de pluie et c’est la débandade. Personne ne respecte plus rien. C’est un problème de mentalité. Quelqu’un roule devant vous à 20 km/heure et vous obstrue parce qu’il est au téléphone, mais arrivé au feu il bondit à 100 à l’heure pour passer pendant que le feu est au rouge. Je crois que le seul moyen est de rétablir l’autorité de l’état et sévir sans pitié. Le Burkinabé ne comprend que le langage de la violence.
Très bonne analyse. Je suis d’accord avec tout votre argumentaire. C’est un problème de tolérance, de mœurs. J’ai eu la chance de circuler dans bien de capitales de la sous région et même d’ailleurs. A Yaoundé, ils ont trois fois plus de voitures en circulation et trois fois moins de feu tricolores, mais la circulation est propres parce que les gens sont tolérants. Rappelez-vous que quand les allemands ont envahi Londres et que les armes crépitaient en pleine ville, les gens respectaient toujours les stops. Ici, la première goutte de pluie et c’est la débandade. Personne ne respecte plus rien. C’est un problème de mentalité. Quelqu’un roule devant vous à 20 km/heure et vous obstrue parce qu’il est au téléphone, mais arrivé au feu il bondit à 100 à l’heure pour passer pendant que le feu est au rouge. Je crois que le seul moyen est de rétablir l’autorité de l’état et sévir sans pitié. Le Burkinabé ne comprend que le langage de la violence.