Disfonctionnement dans le CHUSS de Bobo : Le Balai Citoyen et le Mouvement tout en rouge en sit-in

Enfin j’encourage ces jeunes qui vont secouer un peu le cocotier. J’avais parlé de ce cas du CHUSS mais personne n’avait fait attention parce que nous étions tous passionné du débat sur le référendum, de l’installation ou pas du sénat, Bref. Les médecins, les infirmiers et auxiliaires de santé ont manifesté, ils ont fait de setting en vain ; je me souviens lorsqu’ils ont manifesté contre leur DG parce qu’il dilapidait les fonds, au lieu de le révoquer au contraire le pouvoir de mon président l’a bombardé comme SG de ce même ministère. L’impunité s’est installée et chaque DG qui passe essaie de creuser un peu la tombe de notre Hôpital universitaire. Malgré les interpellations des médecins, des patients, l’état reste sourd. Sinon comment peut on construire des nouveaux bâtiments hors normes pendant ce temps le minimum manque pour la prise en charge des interventions chirurgicales. Le Bloc opératoire est sale (j’y suis entré parce que ma voisine avait fait un accident de circulation) les climatiseurs ne marchent pas bien, tout est panne au bloc. Aucun matériel pour que les médecins puissent faire des interventions chirurgicales en orthopédie-traumatologie.(panne des autoclaves, panne des tables opératoires)j’avais déjà attiré l’attention de l’opinion nationale le 2 avril 2014 à 13h 44mn qu’il existe trop de FADIGA qui meurent dans nos Hôpitaux comme le CHUSS de Bobo. Le protocole d’un ex ministre ne dira pas le contraire lorsque sa sœur est décédée après une coupure de courant pendant qu’elle était sous assistance des machines. Les riverains de l’hôpital SANOU SOURO ne diront pas le contraire lorsque les cadavres en putréfaction à la morgue les dérangeaient parce la chambre froide était en panne. C’est ici que SALIA SANOU doit user de ses relations pour remplir au "recto-verso" l’hôpital SANOU SOURO de Bobo de médicaments et du matériel pour le bonheur de ses administrés malades et des médecins qui sont compétents mais hélas par manque de moyens, vont ailleurs.