Adama Kanazoé, président de AJIR : « Le referendum est le plus grand piège de l’histoire électorale du Burkina contemporain »
9 mai 2014, 08:10, par
Kibora
" Nous sommes des sociaux-démocrates convaincus que le secteur privé doit rester le moteur de la croissance dans un Burkina Faso plus équitable et plus juste dans la répartition des fruits de la croissance. Mais cette redistribution des richesses doit se faire à travers des projets et plans de développement structurels et non par le biais de programmes conjoncturels d’assistanat qui contribuent à asservir le peuple et à faire le jeu des politiciens". C’est CONTRADICTOIRE Cher frère KANAZOE. Cette vision est plutôt libérale et non celle du camp dont tu te réclames.
" Nous sommes des sociaux-démocrates convaincus que le secteur privé doit rester le moteur de la croissance dans un Burkina Faso plus équitable et plus juste dans la répartition des fruits de la croissance. Mais cette redistribution des richesses doit se faire à travers des projets et plans de développement structurels et non par le biais de programmes conjoncturels d’assistanat qui contribuent à asservir le peuple et à faire le jeu des politiciens". C’est CONTRADICTOIRE Cher frère KANAZOE. Cette vision est plutôt libérale et non celle du camp dont tu te réclames.