Nos chers pasteurs de la conférence épiscopale Burkina-Niger : au lieu de prier pour la paix, faisons une procession à Ziniaré pour demander à celui qui a toujours été une menace à la paix au Burkina de laisser en paix ce pays qu’il a trouvé en paix en octobre 1987. Cette démarche serait beaucoup plus efficace que tout autre.
Rappelez vous l’assassinat de Norbert Zongo et ce qui s’en ait suivi : si le dictateur a échappé à cette crise, c’est grâce à l’hypocrisie nationale de l’époque symbolisée par la journée nationale du pardon dont vous les prêtres étaient parti prenante.
Nos chers pasteurs de la conférence épiscopale Burkina-Niger : au lieu de prier pour la paix, faisons une procession à Ziniaré pour demander à celui qui a toujours été une menace à la paix au Burkina de laisser en paix ce pays qu’il a trouvé en paix en octobre 1987. Cette démarche serait beaucoup plus efficace que tout autre.
Rappelez vous l’assassinat de Norbert Zongo et ce qui s’en ait suivi : si le dictateur a échappé à cette crise, c’est grâce à l’hypocrisie nationale de l’époque symbolisée par la journée nationale du pardon dont vous les prêtres étaient parti prenante.