Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga
30 avril 2014, 09:35, par
YESI
Surement que ce directeur doit amèrement regretter. S’il regrette son acte parce qu’il ne savait pas que la punition allait occasionnait des blessures qu’il demande franchement pardon aux parents de l’enfant prenne les frais de soins en charge.
Surement que ce directeur doit amèrement regretter. S’il regrette son acte parce qu’il ne savait pas que la punition allait occasionnait des blessures qu’il demande franchement pardon aux parents de l’enfant prenne les frais de soins en charge.