Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga
30 avril 2014, 09:19, par
Mme ouedraogo
Anita manour. Je me demande si vous avez des enfants et si oui je les plains. Le coeur d’une mère ne peut pas rester insensible devant de telles souffrances d’enfants même si c’est pour les faire réussir. Punitions corporelles ne signifient pas sévices ou tortures physiques au point que la victime est alitée. Si vous avez subi pire que ça a votre primaire c’est que vous deviez être cancre têtue bête et paresseuse. Et je doute fort que vous ayez réussi au niveau que vous prétendez. De quelle génération êtes vous car même dans les années 70-80 les tortures d’élèves étaient rares et desapprouvees. La présence de la chicotte servait plus à dissuader. Alors battre l’enfant d’autrui jusqu’à le rendre malade non !
Anita manour. Je me demande si vous avez des enfants et si oui je les plains. Le coeur d’une mère ne peut pas rester insensible devant de telles souffrances d’enfants même si c’est pour les faire réussir. Punitions corporelles ne signifient pas sévices ou tortures physiques au point que la victime est alitée. Si vous avez subi pire que ça a votre primaire c’est que vous deviez être cancre têtue bête et paresseuse. Et je doute fort que vous ayez réussi au niveau que vous prétendez. De quelle génération êtes vous car même dans les années 70-80 les tortures d’élèves étaient rares et desapprouvees. La présence de la chicotte servait plus à dissuader. Alors battre l’enfant d’autrui jusqu’à le rendre malade non !