Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga
29 avril 2014, 15:25, par
De Balzac
Excusez-moi, mais le parent veut ici biaiser le débat. Tu nous présente l’image d’un neveux et tu joins les ordonnances de ton fils. Un peu du sérieux. Plus grave que ça, je me permets de douter de la sincérité de ce parent. Tous les deux cas sont de votre famille et ce en l’espace d’un moi. Alors, tu dois tirer la conclusion toi-même. Soit il s’agit d’une famille où l’éducation des enfants n’en existe pas ou soit il s’agit d’une famille avec des enfants structurellement déficients intellectuellement (peu intelligents ou inintelligents) et on accusent les maîtres. Aujourd’hui chacun veut que son enfant soit prince à la maison sans oublier que le père n’est pas roi sur tous les royaumes. Conséquence, l’enfant traîne les mêmes tares de la maison à l’école. Alors aidons les enseignants dans leur travail.
Excusez-moi, mais le parent veut ici biaiser le débat. Tu nous présente l’image d’un neveux et tu joins les ordonnances de ton fils. Un peu du sérieux. Plus grave que ça, je me permets de douter de la sincérité de ce parent. Tous les deux cas sont de votre famille et ce en l’espace d’un moi. Alors, tu dois tirer la conclusion toi-même. Soit il s’agit d’une famille où l’éducation des enfants n’en existe pas ou soit il s’agit d’une famille avec des enfants structurellement déficients intellectuellement (peu intelligents ou inintelligents) et on accusent les maîtres. Aujourd’hui chacun veut que son enfant soit prince à la maison sans oublier que le père n’est pas roi sur tous les royaumes. Conséquence, l’enfant traîne les mêmes tares de la maison à l’école. Alors aidons les enseignants dans leur travail.