Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga
29 avril 2014, 13:04, par
gueyo
celui qui à commis le forfait est sans âme et sans amour pour son semblable.A mon avis,de tel acte inhumain est passible pour une poursuite suivie d’une sanction judiciaire car ce soit disant directeur qui d’ailleurs n’incarne point en n’en pas douter un bon chef de service est conscient de l’interdiction du châtiment corporel en milieu scolaire.Et d’ailleurs c’est lui qui,en sa qualité de directeur doit veiller au grein pour que ses adjoints se plis à ladite règle.C’est déplorable pour vous directeur.
celui qui à commis le forfait est sans âme et sans amour pour son semblable.A mon avis,de tel acte inhumain est passible pour une poursuite suivie d’une sanction judiciaire car ce soit disant directeur qui d’ailleurs n’incarne point en n’en pas douter un bon chef de service est conscient de l’interdiction du châtiment corporel en milieu scolaire.Et d’ailleurs c’est lui qui,en sa qualité de directeur doit veiller au grein pour que ses adjoints se plis à ladite règle.C’est déplorable pour vous directeur.