C’est simple, si la SONABEL ne peut pas assurer le service pour lequel le client a souscrit, ce dernier est en droit de demander des réparations de dommages. Il est en droit de ne pas payer. Mais hélas comme dans l’inconscient collectif, on préfère avoir des miettes que réclamer ses droits, ceci risque de perdurer. Il en est de même pour les réseaux de téléphonie mobile. Tant que le consommateur ne prendra pas sa révolte en main il n’ y aura point de changement, car quelle que soit la situation, quelle que soit la défaillance, le fournisseur lui engrangera toujours son profit.
C’est simple, si la SONABEL ne peut pas assurer le service pour lequel le client a souscrit, ce dernier est en droit de demander des réparations de dommages. Il est en droit de ne pas payer. Mais hélas comme dans l’inconscient collectif, on préfère avoir des miettes que réclamer ses droits, ceci risque de perdurer. Il en est de même pour les réseaux de téléphonie mobile. Tant que le consommateur ne prendra pas sa révolte en main il n’ y aura point de changement, car quelle que soit la situation, quelle que soit la défaillance, le fournisseur lui engrangera toujours son profit.