Le président du PAREN reçu à la maison blanche, au département d’Etat et au congrès américain
3 avril 2014, 05:10, par
Citoyen
À s’en tenir au titre de votre article, on pourrait croire que c’est à titre personnel que M. Barry a été reçu à la Maison blanche, au Département d’État et au Congrès américain. Il s’agit de voyages d’études qu’organise pratiquement chaque année le Gouvernement américain à l’intention de jeunes cadres ou futurs cadres de pays en développement, pour l’essentiel. Ces voyages d’études ne datent d’ailleurs pas d’aujourd’hui puisqu’un collègue, alors étudiant à la fac d’anglais de Ouaga, y a participé en … 1972 ! L’objectif déclaré est de familiariser ces futurs responsables avec les "réalités" américaines (politique, administrative, sociale, etc.) dans le cadre d’une initiative que l’on pourrait qualifier aussi d’opération de charme. Certains "stages" organisés en France ou dans d’autres pays "développés" s’inscrivent dans la même logique. Rien à redire puisque ça permet de découvrir d’autres réalités, à la condition, évidemment, que tout un chacun conserve, en la matière, un minimum de lucidité.
À s’en tenir au titre de votre article, on pourrait croire que c’est à titre personnel que M. Barry a été reçu à la Maison blanche, au Département d’État et au Congrès américain. Il s’agit de voyages d’études qu’organise pratiquement chaque année le Gouvernement américain à l’intention de jeunes cadres ou futurs cadres de pays en développement, pour l’essentiel. Ces voyages d’études ne datent d’ailleurs pas d’aujourd’hui puisqu’un collègue, alors étudiant à la fac d’anglais de Ouaga, y a participé en … 1972 ! L’objectif déclaré est de familiariser ces futurs responsables avec les "réalités" américaines (politique, administrative, sociale, etc.) dans le cadre d’une initiative que l’on pourrait qualifier aussi d’opération de charme. Certains "stages" organisés en France ou dans d’autres pays "développés" s’inscrivent dans la même logique. Rien à redire puisque ça permet de découvrir d’autres réalités, à la condition, évidemment, que tout un chacun conserve, en la matière, un minimum de lucidité.