Construction de l’Hôtel administratif du Centre : Le Premier ministre déplore l’inorganisation et l’incapacité des entreprises
12 mars 2014, 12:04, par
Rakiss’sida
C’est juste ! Les autorités ferment les yeux sur les vrais problèmes et tapent facilement sur les entrepreneurs qui ne font que courber l’échine.
Les maux du BTP aujourd’hui au BF sont :
* Raquettes (organisées par ceux qui attribuent les marchés)qui obligent les entrepreneur à donner souvent jusqu’à 15% du montant de leur marché ;
* les prix irréalistes (toutes les entreprises sous-estiment les prix avec la complicité de l’administration) ;
* l’amateurisme des cabinets d’architectes et d’ingénieries (ils évaluent mal les projets et ne sont jamais sanctionnés) ;
* la carence, voire l’absence de la main d’oeuvre locale qualifiée (elle préfère aller faire de l’orpaillage que de travailler sur un chantier pour un salaire de misère).
Il y a eu des états généraux du BTP en 2012, on attend toujours la synthèse de ses travaux, ne parlons pas de leurs applications... Il est amnésique le ministre de l’Habitat.
Faites semblant de travailler ! M. le Premier Ministre.
C’est juste ! Les autorités ferment les yeux sur les vrais problèmes et tapent facilement sur les entrepreneurs qui ne font que courber l’échine.
Les maux du BTP aujourd’hui au BF sont :
* Raquettes (organisées par ceux qui attribuent les marchés)qui obligent les entrepreneur à donner souvent jusqu’à 15% du montant de leur marché ;
* les prix irréalistes (toutes les entreprises sous-estiment les prix avec la complicité de l’administration) ;
* l’amateurisme des cabinets d’architectes et d’ingénieries (ils évaluent mal les projets et ne sont jamais sanctionnés) ;
* la carence, voire l’absence de la main d’oeuvre locale qualifiée (elle préfère aller faire de l’orpaillage que de travailler sur un chantier pour un salaire de misère).
Il y a eu des états généraux du BTP en 2012, on attend toujours la synthèse de ses travaux, ne parlons pas de leurs applications... Il est amnésique le ministre de l’Habitat.
Faites semblant de travailler ! M. le Premier Ministre.