Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
12 mars 2014, 12:12, par
Karl Marx
Merci, chère journaliste, pour cette analyse partielle(oui vous semblez avoir un parti pris). On t’a envoyé ou quoi. Que Salif fusse ceci ou cela et qu’il veuille se retirer de ce système vous n’avez qu’à applaudir au lieu de cherchez à faire des analyses contre lui. "Vous n’avez pas de future tant que vous êtes satisfait de votre présent". Les "peureux ont peur" de l’après Blaise comme si le Burkina manquait d’homme capable de le diriger à l’exception de Blaise. Eviter de vous plaire dans le statut quo.
Merci, chère journaliste, pour cette analyse partielle(oui vous semblez avoir un parti pris). On t’a envoyé ou quoi. Que Salif fusse ceci ou cela et qu’il veuille se retirer de ce système vous n’avez qu’à applaudir au lieu de cherchez à faire des analyses contre lui. "Vous n’avez pas de future tant que vous êtes satisfait de votre présent". Les "peureux ont peur" de l’après Blaise comme si le Burkina manquait d’homme capable de le diriger à l’exception de Blaise. Eviter de vous plaire dans le statut quo.