Médiation interne : Pour Salif Sawadogo, il n’y aura pas de mandat de Blaise Compaoré
10 mars 2014, 11:12, par
TIENFO
Tout est clair désormais comme l’eau de roche. Dieu merci que les électeurs burkinabé ont enfin compris. Ce qui vient de se passer à l’arrondissement n°4 de Ouaga en est une belle illustration. On prend, du moins on doit prendre l’argent ou les dons (forages ou bornes fontaines, sacs de riz ou de maïs, etc.), des différents candidats et on bouffe si l’occasion se présente. Y a foyi. Et dans les urnes on vote le candidat qui fera notre affaire quand il sera élu. Si les candidats véreux pensent qu’ils peuvent tromper les électeurs à volonté, il est donc aussi normal pour ces derniers de prendre l’argent d’ailleurs volé des premiers. Et comme le dit Daouda KONE, « match nul », « tu as longtemps abusé de moi et j’ai pris argent, match nul ». Personne n’a le droit d’abuser de son prochain. Le Sénégal aussi est passé par là pour aboutir à l’alternance. En effet, les « talibés » appelés « garibous » chez nous ont compris que leurs maîtres coraniques n’ont aucun pouvoir de contrôles sur eux dans les urnes. Les maîtres coraniques communément appelés « marabouts » au Sénégal utilisaient leurs protégés comme « bétail électoral » pour s’attirer les faveurs des chefs de partis politiques. Il est temps pour nous burkinabé de réagir de la sorte, comme à l’arrondissement n°4.
Ce qu’il faut craindre du côté de l’opposition, ce n’est pas la perte des élections mais surtout le truquage des résultats et le vol des urnes. Les démissionnaires du CDP et fondateurs du MPP en savent bien quelque chose.
« A FORCE DE METTRE LA POUSSIERE SOUS LE TAPIS, ÇA COMMENCE A DEVENIR TROP EPAIS POUR QU’ON Y MARCHE DESSUS ». Nous en sommes ainsi arrivés au Burkina par les actes posés par le CDP.
Tout est clair désormais comme l’eau de roche. Dieu merci que les électeurs burkinabé ont enfin compris. Ce qui vient de se passer à l’arrondissement n°4 de Ouaga en est une belle illustration. On prend, du moins on doit prendre l’argent ou les dons (forages ou bornes fontaines, sacs de riz ou de maïs, etc.), des différents candidats et on bouffe si l’occasion se présente. Y a foyi. Et dans les urnes on vote le candidat qui fera notre affaire quand il sera élu. Si les candidats véreux pensent qu’ils peuvent tromper les électeurs à volonté, il est donc aussi normal pour ces derniers de prendre l’argent d’ailleurs volé des premiers. Et comme le dit Daouda KONE, « match nul », « tu as longtemps abusé de moi et j’ai pris argent, match nul ». Personne n’a le droit d’abuser de son prochain. Le Sénégal aussi est passé par là pour aboutir à l’alternance. En effet, les « talibés » appelés « garibous » chez nous ont compris que leurs maîtres coraniques n’ont aucun pouvoir de contrôles sur eux dans les urnes. Les maîtres coraniques communément appelés « marabouts » au Sénégal utilisaient leurs protégés comme « bétail électoral » pour s’attirer les faveurs des chefs de partis politiques. Il est temps pour nous burkinabé de réagir de la sorte, comme à l’arrondissement n°4.
Ce qu’il faut craindre du côté de l’opposition, ce n’est pas la perte des élections mais surtout le truquage des résultats et le vol des urnes. Les démissionnaires du CDP et fondateurs du MPP en savent bien quelque chose.
« A FORCE DE METTRE LA POUSSIERE SOUS LE TAPIS, ÇA COMMENCE A DEVENIR TROP EPAIS POUR QU’ON Y MARCHE DESSUS ». Nous en sommes ainsi arrivés au Burkina par les actes posés par le CDP.