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Maxime Lomboza Koné : « la meilleure manière de gérer un conflit, c’est d’éviter qu’il s’éclate ! »

26 février 2014, 11:05, par Raconter ce que vous connaisser

Mr Ous,je vous arrête pour cette allégation. A l’annonce de l’assasinat de Norbert Zongo, tout ce qui a été decoulé par la suite a été instantané et organisé par les étudiants. C’est après que les associations ont accomapgné le mouvement et s’en est suivi les partis politiques de l’opposition. Je sais qu’à l’annoce de la mauvaise nouvelle ; on était à la salle télé de la résidence universitaire. On s’est organisé sur place et je ne donnerai pas le nom de la personne qui a eu le courage de prendre la parole pour dire ce qu’on devrait faire car il occupe actuellement de haute fonction sensible. nous avons utilisé les tams tams d’un club pour faire du bruit pour annoncer la nouvelle, certains ont demarré leur char pour passer l’info aux étudiants de la cité Patte-D’oie et au petit matin, tout le monde était regroupé à la place Dabo Boukary. Un autre cortégège est venu joindre le groupe qui était à cette place venant du lycee...(j’oublir déjà le nom de ce lyceé). Ainsi reuni, le cortège s’est dirigé au petit matin matin vers la morgue de l’hopital Yalgado en passant par le bois de Boulogne. seule une dizaine d’étudiants ont eu l’autorisation de rentrer à la morgue pour s’incliner devant les corps calcinés non regardables pour les ames sensibles. C’est après que l’équipe conduite par le Pr Soudré est passée pour l’autopsie des corps. Malgré la sécurité renforcée mise en place par l’ANEB, on n’a pas pu maitriser par la suite la collère des étudiants. Tout a fait pour que il n’ y ait pas de casse, qu’il n y ait pas de casse mais comme les collègues étaient tellement en collère et qu’ils étaient prets à frapper les membres de la sécurité et les dirigents de l’ANEB qui éssayaient de calmer la foule,la sécurité et dirigent ANEB n’avaient plus de choix au risque de se faire lyncher. Les cadres de l’ANEB ne pouvaient plus prendre la parole devant cette colère. C’est ainsi qu’en est suivi ce que nous savons, la desecente des étudiants et des autres citoyens en ville. Rassurez vous l’UNEF n’était pas à la base de ce regroupement. Même l’ANEB n’a pu s’organiser de façon effective pour la suite qu’au moment où les gens étaient en ville. Sinon au CHUYO, personne ne pouvait appaiser la colère mêmes les grands regroupeurs de lANEB au risque de ce faire lynvher. La descent en ville était instantané et non organisé par qui que ce soit.Jamais, je n’ai vu un tel regropement au Burkina et une telle colère non maitrisable. Mais chapeau aux forces de sécurité et au conseil, parceque si ils avaient intervenu, ça allait être une catasptrophe encore plus grande car personne n’avait peur de quoi que ce soit ou de qui.Donc faite attention à ce que vous dite. Pour vous rassurer Maxime est un ami et on se respecte.
Merci de prendre positivement ce reply


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