Education : Ecoles sous paillotes dans le Gourma, l’autre visage de l’école burkinabè
20 février 2014, 09:58, par
paz
Dans mon village près de Banfora, l’école est resté de même depuis la révolution, le manguier que j’ai planté a l’âgé de 10 ans sur l’ordre du président Thomas Sankara a eu la chance plus que les élèves qui y fréquentent en 2013, car le puits que nos parents ont creusés pour l’école fonctionne à merveille, tous les manguiers plantés par les élèves de cm1 en 1984 ont été bien arrosés mieux que les élèves et le bâtiment oubliés par l’état. En 27 ans de règne, aucun représentant du président Blaise Compaoré n’a pensé à notre école. Des élus promettent mais ne tiennent pas leurs promesses dès qu’ils sont dans les bureaux des mairies. C’est vrais l’émergence du Burkina se situe entre OUAGA et BOBO. Il est temps qu’une équipe avec un programme élargi sans égoïsme prenne le relais pour un Burkina qui avance de long en large.
Dans mon village près de Banfora, l’école est resté de même depuis la révolution, le manguier que j’ai planté a l’âgé de 10 ans sur l’ordre du président Thomas Sankara a eu la chance plus que les élèves qui y fréquentent en 2013, car le puits que nos parents ont creusés pour l’école fonctionne à merveille, tous les manguiers plantés par les élèves de cm1 en 1984 ont été bien arrosés mieux que les élèves et le bâtiment oubliés par l’état. En 27 ans de règne, aucun représentant du président Blaise Compaoré n’a pensé à notre école. Des élus promettent mais ne tiennent pas leurs promesses dès qu’ils sont dans les bureaux des mairies. C’est vrais l’émergence du Burkina se situe entre OUAGA et BOBO. Il est temps qu’une équipe avec un programme élargi sans égoïsme prenne le relais pour un Burkina qui avance de long en large.