Meeting CDP à l’arrondissement 5 de Bobo : « Si on le veut, Djamila sera Présidente du Faso » dixit Salia Sanou

Il faut laisser la petite Djamila en paix. C’est une enfant qui a plus besoin d’aller à l’école et de grandir aussi bien de corps que d’esprit, que de voir son nom exploité par des politicards. Pourquoi au nom d’intérêts politiciens, faut-il que des adultes la perturbent à ce point ? Comme si elle avait demandé à naître d’un père Président. Hier c’étaient des dames défraîchies en intelligence et en bon sens, qui projetaient dans des joutes politiciennes la petite Djamila dans leurs idiotes recherches de gains, en créant des associations ridiculement dénommées « les tanties de Djamila". Aujourd’hui c’est un désabusé qui ne semble pas pouvoir justifier du moindre capital de contribution positive à la vie nationale, qui s’y remet. Je ne suis pas CDP, ni d’aucun parti, et je respecte ceux qui ne pensent pas comme moi, c’est à dire les politiciens qui veulent accaparer l’avenir de la nation à travers la scélérate impossibilité des candidatures indépendantes. Mais que l’on fasse du mal à un jeune ou à un enfant de ce pays, je ne l’accepterai jamais. C’est pourquoi j’interpelle le CDP, pour qu’il ramène dans les rangs des excités qui parlent sans base théorique, ni expérience valable. Défaut, c’est Baise Compaoré père et garant de l’éducation de son enfant, qui doit taper du poing pour protéger son enfant. Et s’il ne le fait pas, c’est donc Chantal Compaoré, qui a l’avantage d’être une femme et la noblesse d’être une mère, qui doit défendre bec et ongles la quiétude morale de sa fille.