Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Le Président Blaise Compaoré, l’opposition burkinabè et l’avenir
11 février 2014, 22:39, par
ologbana
Tous mes respects Mr Nyamsi ! Depuis un certain un temps, je me suis permis de te lire dans ta participation au débat politique au Burkina. En panafricain rassuré, je me suis convaincu de ta légitimité à partager ta réflexion. Très tôt j’ai senti les vomissures et l’irrespect que tu voues au peuple burkinabè. Que l’on te pardonne, car je ne te suivrai point dans tes errements et circonvolutions d’encéphalite ! Tu as poussé l’outrecuidance un tantinet "prostitutive", à trop exagérer dans une bagarre qui ne te concerne que peu et indigne d’un africain (fut-il enseignant de philosophie). Au delà des arguties précambriennes que tu débites pour satisfaire je ne sais quel altruisme mieux que les burkinabè eux-mêmes, je voudrais t’inviter à faire sans complaisance aux peuples camerounais et burkinabè, le parallèle qu’avec ta qualité d’homme de FOI, d’agrégé de philosophie et de défenseur de peuple en paix qui l’ignore », tu fais entre les présidents BIYA et COMPAORE. Pour parler comme ton compatriote le président Mbaola (fils de l’autre), garde tes diatribes pour tes concitoyens et sache que pour ce qui est de notre lutte, elle aboutira. Nul tyran n’a vaincu son peuple. La marche triomphante de notre peuple épris d’alternance et d’alternatives est victorieuse.
Tous mes respects Mr Nyamsi ! Depuis un certain un temps, je me suis permis de te lire dans ta participation au débat politique au Burkina. En panafricain rassuré, je me suis convaincu de ta légitimité à partager ta réflexion. Très tôt j’ai senti les vomissures et l’irrespect que tu voues au peuple burkinabè. Que l’on te pardonne, car je ne te suivrai point dans tes errements et circonvolutions d’encéphalite ! Tu as poussé l’outrecuidance un tantinet "prostitutive", à trop exagérer dans une bagarre qui ne te concerne que peu et indigne d’un africain (fut-il enseignant de philosophie). Au delà des arguties précambriennes que tu débites pour satisfaire je ne sais quel altruisme mieux que les burkinabè eux-mêmes, je voudrais t’inviter à faire sans complaisance aux peuples camerounais et burkinabè, le parallèle qu’avec ta qualité d’homme de FOI, d’agrégé de philosophie et de défenseur de peuple en paix qui l’ignore », tu fais entre les présidents BIYA et COMPAORE. Pour parler comme ton compatriote le président Mbaola (fils de l’autre), garde tes diatribes pour tes concitoyens et sache que pour ce qui est de notre lutte, elle aboutira. Nul tyran n’a vaincu son peuple. La marche triomphante de notre peuple épris d’alternance et d’alternatives est victorieuse.