Le Président Blaise Compaoré, l’opposition burkinabè et l’avenir
11 février 2014, 20:56, par
l’arbre qui cache la forêt
Il faut savoir qu’au Burkina il y a trop a faire alors que le pays ne dispose pas d’assez de ressources. A cela s’ajoute les contraintes climatique, la qualité des sols et l’enclavement du pays font que le Burkina dépendant toujours de l’extérieur ; cependant le fait que les burkinabé sont des misérable miséreux concours a notre place actuelle de 173ème mondial. Figurez vous que c’est avec l’avènement de nos frère Bisas et les crises que les pays frontalier ont subi que la diaspora burkinabé s’est rendu compte qu’il faut investir au pays. Au regard de ces faits lamentable je dirai que vouloir que le Burkina Faso soit premier mondial relève du miracle. Cependant atteindre l’autosuffisance sanitaire alimentaire éducatifs ne veut pas forcement dire mettre Dieu a l’épreuve. Merci
Il faut savoir qu’au Burkina il y a trop a faire alors que le pays ne dispose pas d’assez de ressources. A cela s’ajoute les contraintes climatique, la qualité des sols et l’enclavement du pays font que le Burkina dépendant toujours de l’extérieur ; cependant le fait que les burkinabé sont des misérable miséreux concours a notre place actuelle de 173ème mondial. Figurez vous que c’est avec l’avènement de nos frère Bisas et les crises que les pays frontalier ont subi que la diaspora burkinabé s’est rendu compte qu’il faut investir au pays. Au regard de ces faits lamentable je dirai que vouloir que le Burkina Faso soit premier mondial relève du miracle. Cependant atteindre l’autosuffisance sanitaire alimentaire éducatifs ne veut pas forcement dire mettre Dieu a l’épreuve. Merci