Alternance politique au Burkina : Le point de vue de Juliette Bonkoungou
29 janvier 2014, 11:00, par
Grand Dodo
Mes amis,
J’ai lu avec intérêt votre papier. Laissez-moi vous dire qu’il est temps que les africains se prennent au sérieux si nous voulons acceder au développement. Un pas en avant, deux pas en arrière à quoi cela conduit ?
Regarder les deux Congos, le Cameroun, le Togo, le Gabon et que sais-je ?... Comparez ces pays aux pays comme le Bénin, le Ghana, mais chers ne nous abreuvons pas d’illusions ou de rêveries. Nos Etats vont continuer par exister même si ces potentas de leaders venaient à disparaitre. ils ont fait leur temps. ils sont au bout du rouleau, ils sont epuisés et à bout d’inititives nouvelles.
Quand on aime son pays, sa patrie on ne peut que lui souhaiter le meilleur.
Le désir sans limite de détenir le pouvoir pour le pouvoir doit s’arrêter maintenant en Afrique.
Le président Roosvelt, malgré ses bons effrts pour sortir la grande Amérique de la crise ne s’est pas éternisé au pouvoir.
Sachons nous prendre au sérieux si nous voulons que le monde nous prenne au sérieux. le danger pour notre pays est réel et l’on veut sacrifier notre pays sur l’autel des intérets personnels.
Mes amis,
J’ai lu avec intérêt votre papier. Laissez-moi vous dire qu’il est temps que les africains se prennent au sérieux si nous voulons acceder au développement. Un pas en avant, deux pas en arrière à quoi cela conduit ?
Regarder les deux Congos, le Cameroun, le Togo, le Gabon et que sais-je ?... Comparez ces pays aux pays comme le Bénin, le Ghana, mais chers ne nous abreuvons pas d’illusions ou de rêveries. Nos Etats vont continuer par exister même si ces potentas de leaders venaient à disparaitre. ils ont fait leur temps. ils sont au bout du rouleau, ils sont epuisés et à bout d’inititives nouvelles.
Quand on aime son pays, sa patrie on ne peut que lui souhaiter le meilleur.
Le désir sans limite de détenir le pouvoir pour le pouvoir doit s’arrêter maintenant en Afrique.
Le président Roosvelt, malgré ses bons effrts pour sortir la grande Amérique de la crise ne s’est pas éternisé au pouvoir.
Sachons nous prendre au sérieux si nous voulons que le monde nous prenne au sérieux. le danger pour notre pays est réel et l’on veut sacrifier notre pays sur l’autel des intérets personnels.