Système Blaise Compaoré : le sursaut soudain des “inconditionnels” d’hier
8 janvier 2014, 18:39, par
Burkinbi
Merci pour ces vérités crues. Tout est dit.
N’oublions pas cependant d’où nous venons, j’étais très jeune (petit) pendant la révolution mais j’ai beaucoup lu depuis. A en croire aux écrits nous venons de loin :
Au crépuscule de la révolution, des positions étaient tranchées, rigides malgré les maintes conciliations. Pire, chaque camps cherchaient comment trucider l’autre et ce qui devrait arriver arriva : Assassinats sur assassinats, terreur sur terreurs.
Avec le "soleil des démocraties de façade", on mit un système qui est l’exact copie des règnes "nabales" mais enveloppé de la couverture "démocratique" : "tu manges, je mange. Je corromps, tu corromps... et gars à celui qui lève le dois ! Ce qui ont osé dénoncer les fléaux, ont été écarté ou pire "zigouller au kalach".
Et je dirais que nous étions tous comptables de part notre silence. Ne dis-t-on pas qui ne dit mot, consent ?
Les temps ont changé et tou(tes)s celles/ceux qui refusent de croire en ce changement en auront que leur yeux pour pleur.
Merci pour ces vérités crues. Tout est dit.
N’oublions pas cependant d’où nous venons, j’étais très jeune (petit) pendant la révolution mais j’ai beaucoup lu depuis. A en croire aux écrits nous venons de loin :
Au crépuscule de la révolution, des positions étaient tranchées, rigides malgré les maintes conciliations. Pire, chaque camps cherchaient comment trucider l’autre et ce qui devrait arriver arriva : Assassinats sur assassinats, terreur sur terreurs.
Avec le "soleil des démocraties de façade", on mit un système qui est l’exact copie des règnes "nabales" mais enveloppé de la couverture "démocratique" : "tu manges, je mange. Je corromps, tu corromps... et gars à celui qui lève le dois ! Ce qui ont osé dénoncer les fléaux, ont été écarté ou pire "zigouller au kalach".
Et je dirais que nous étions tous comptables de part notre silence. Ne dis-t-on pas qui ne dit mot, consent ?
Les temps ont changé et tou(tes)s celles/ceux qui refusent de croire en ce changement en auront que leur yeux pour pleur.
La Patrie ou la mort, Nous vaincrons.