Vœux nouvel an 2014 : message de son excellence monsieur Blaise Compaoré, président du Faso

Il ne faut pas mommifier la constitution,une constitution se modifie x elle meme car les constitiants 91 en avaient prévu.Cher Sanogo la question qui se pose désormais face à ce blocage que faut-il faire ? réviser ou laisser en l’état crée tjrs un sentimemt d’amertume et comme par hasard les constituants l’ont bien déviné dans ce cas de figure c’est le recours au dépositaire de la souverainété"peuple" Une constitution est certes le fruit de consensus mais aussi la consacration des ambitions de ses inspirateurs du moment qui est validée par référendum or,quand ces ambitions et le contexte changent alors il faudra faire appel au référendum pour valider ou invalider cette meme constitution en bloque alors on parle de changement de république ou en partie alors parle-t-on de révision.Dans notre casa d’espèce l’idéal serait de procéder x voie parlementaire le bémol c’est que l’actuel parlement n’est pas assez réprésentatif du pays d’ou la nécessité du sénat pour s’orienter vers une réunion des 2 chambres en congrès ce serait la meilleure formule de sortie de crise."premum omonum salus patriae"