Modification de l’article 37 par référendum : Des leaders politiques réagissent
16 décembre 2013, 06:50, par
Angele Bassole
Je trouve que certains de nos leaders politiques sont des comiques qui passeraient parfaitement bien aux guignols. Mr Traoré, permettez-moi de vous ramener 26 ans en arrière. Qui a légitimé ce pouvoir de la soit-disant Rectification ? C’est vous et vos autres collègues de l’Université (voir Mr Assimi Koanda. N’y-a t-il donc plus de sites archéologiques à découvrir au Burkina pour qu’il joue à présent aux griots ?) qui aviez decidé de mettre votre intelligence au service de la bêtise. A l’époque, nous, vos étudiants (à qui vous enseigniez la philosophie politique et morale) avions été très décus de vous. Je ne vous ai plus accordé aucun crédit depuis lors. Il est encore là, 26 ans après et veut s’éterniser parce que vous l’avez installé, soutenu, aidé. Alors, débrouillez-vous avec lui et épargnez-nous surtout le pire.
Quant à vous, Mr Ablassé, tout-puissant ministre des Affaires étrangères, vous avez contribué à soigner son image dans les officines des palais occidentaux. Vous l’avez representé et recommandé comme étant le président idéal qu’il fallait au Burkina. Seule une catégorie de personnes ne change pas, dit-on mais c’est 26 ans trop tard, hélas, que de reconnaître aujourd’hui avec le vaillant peuple du pays réel que ce n’est plus l’homme providentiel.
Je trouve que certains de nos leaders politiques sont des comiques qui passeraient parfaitement bien aux guignols. Mr Traoré, permettez-moi de vous ramener 26 ans en arrière. Qui a légitimé ce pouvoir de la soit-disant Rectification ? C’est vous et vos autres collègues de l’Université (voir Mr Assimi Koanda. N’y-a t-il donc plus de sites archéologiques à découvrir au Burkina pour qu’il joue à présent aux griots ?) qui aviez decidé de mettre votre intelligence au service de la bêtise. A l’époque, nous, vos étudiants (à qui vous enseigniez la philosophie politique et morale) avions été très décus de vous. Je ne vous ai plus accordé aucun crédit depuis lors. Il est encore là, 26 ans après et veut s’éterniser parce que vous l’avez installé, soutenu, aidé. Alors, débrouillez-vous avec lui et épargnez-nous surtout le pire.
Quant à vous, Mr Ablassé, tout-puissant ministre des Affaires étrangères, vous avez contribué à soigner son image dans les officines des palais occidentaux. Vous l’avez representé et recommandé comme étant le président idéal qu’il fallait au Burkina. Seule une catégorie de personnes ne change pas, dit-on mais c’est 26 ans trop tard, hélas, que de reconnaître aujourd’hui avec le vaillant peuple du pays réel que ce n’est plus l’homme providentiel.