Remettre son rapport annuel 12 mois après la fin de l’exercice, cela ne fait pas très sérieux en terme de transparence et de gestion. Dis autrement, la moitié du rapport est déjà plus ou moins obsolètes et ira comme les autres au fond des tiroirs de la présidence. L’ASCE dit qu’il y a amélioration de la gestion publique. Ce qui ne semble pas le cas car le Burkina est toujours aussi mal classé au niveau de la corruption au niveau de la CEDEAO. Visiblement, ces dirigeants d’institutions s’autogratulent à peu de frais alors que les résultats restent en réalité médiocres.
Remettre son rapport annuel 12 mois après la fin de l’exercice, cela ne fait pas très sérieux en terme de transparence et de gestion. Dis autrement, la moitié du rapport est déjà plus ou moins obsolètes et ira comme les autres au fond des tiroirs de la présidence. L’ASCE dit qu’il y a amélioration de la gestion publique. Ce qui ne semble pas le cas car le Burkina est toujours aussi mal classé au niveau de la corruption au niveau de la CEDEAO. Visiblement, ces dirigeants d’institutions s’autogratulent à peu de frais alors que les résultats restent en réalité médiocres.