Universités du Burkina : Des étudiants à l’Ecole de la gestion pacifique des processus électoraux
22 octobre 2013, 07:59, par
H H
Très bien, continuons à faire les pansements sans nous soucier des causes de la plaie. Il y a un adage qui dit qu’on ne peut pas réveiller quelqu’un qui ne dort pas. Le jour où l’impunité déguerpira de ce pays, nous n’aurons plus jamais besoin de ce gens de séminaire. Bon courage
Très bien, continuons à faire les pansements sans nous soucier des causes de la plaie. Il y a un adage qui dit qu’on ne peut pas réveiller quelqu’un qui ne dort pas. Le jour où l’impunité déguerpira de ce pays, nous n’aurons plus jamais besoin de ce gens de séminaire. Bon courage