« L’élite dirigeante burkinabè est historiquement dépassée » dixit Abdoul Karim Saidou, doctorant en sciences politiques et membre du FOCAL
22 octobre 2013, 10:44, par
dambol
La plus lourde tâche, difficile à tenir c’est d’éclairer le peuple. En effet beaucoup ont renoncé à nourrir le cerveau si bien qu’ils restent en marge et ne comprennent rien. Ce qui fait mal surtout est qu’un jour, si le pays brûle, c’est plus par l’ignorance que par les effets de la mal-gouvernance. Même la classe moyenne qui en émerge paradoxalement s’intéressent plus à la vie matérielle qu’à cette nourriture du cerveau qui nous permet de rester en équilibre et d’éviter les excès. Vivement que les gens s’intéressent à la vie de la nation pour faciliter le travail de l’opposition. Bravo pour cette analyse et merci !!
La plus lourde tâche, difficile à tenir c’est d’éclairer le peuple. En effet beaucoup ont renoncé à nourrir le cerveau si bien qu’ils restent en marge et ne comprennent rien. Ce qui fait mal surtout est qu’un jour, si le pays brûle, c’est plus par l’ignorance que par les effets de la mal-gouvernance. Même la classe moyenne qui en émerge paradoxalement s’intéressent plus à la vie matérielle qu’à cette nourriture du cerveau qui nous permet de rester en équilibre et d’éviter les excès. Vivement que les gens s’intéressent à la vie de la nation pour faciliter le travail de l’opposition. Bravo pour cette analyse et merci !!