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Joséphine Ouédraogo Guissou, ancienne ministre de la Révolution : « La IVe république a donné plus de place aux institutions qu’à la démocratie elle-même »

4 octobre 2013, 12:12, par Kunakitu

Mme Ouédraogo Joséphine !!! Le visage humain de la révolution démocratique et populaire du Burkina Faso. Elle n’a pas pris un gramme de plus, pas une ride (en vrai, elle n’a pas changé) de plus. Belle, intelligente, discrète, travailleuse et ingénieuse, la grande classe de naissance c’est comme ça chez nous, on ne fait pas exprès). Au lieu de voir en elle, un modèle de droiture et d’intégrité, le "Riche et autres hyènes toujours à l’affût des charognes de leur concitoyens" la critiquent. Elle a travaillé sous la révolution, et alors ? Elle témoigne de ce qu’elle a fait quand elle était jeune et jolie ministre, avec sa belle silhouette qui donnait tant un visage humain à la révolution. Elle parle de ce que la révolution a apporté en quatre ans au Burkina. Où est le mal. Elle ne jette l’anathème sur personne. Elle donne sa brillante lecture de la situation et dresse un bilan très fin des acquis du peuple pendant la révolution. Elle a bien dit que le Président Thomas Sankara voulait "des changements sociaux irréversibles". On est dans le vrai ici. Rien de beau ne peut sortir d’un cœur noir et d’une âme noircie par la haine et le crime. Joséphine n’est pas une crève la faim ; Elle a bon coeur et cela ne s’improvise pas. Elle sait de quoi elle parle, quand il s’agit de progrès et de développement. Son parcours le prouve et ceux qui ont vomi leur venin toxique dans ce forum sont tout simplement aigris de voir que les étoiles brillent encore pour d’autres au Burkina. Je reconnais que l’interview (mention honorable pour la plume qui l’a retranscrite) n’est pas du français facile pour certains qui ont du s’étrangler en lisant la brillante analyse d’une femme sensible et généreuse. En tout cas, nous on l’adore, nous savons ce qu’elle vaut et nous savons qu’elle ne fait pas partie des « nous avons les plus belles femmes, les plus belles voitures d’un certain Simon -au fait Simon en hébreux veut dire "Petit roseau"-. Ceux et celles y compris moi-même Kunakitu, qui pensent qu’il ne faut pas s’engager se trompent. Comme le petit fascicule de Stéphane Hessel « Indignez-vous », ce texte d’interview mérite d’être lu dans les écoles et dans tous les centres de formation au Burkina et traduit en langue nationales, à l’image du premier discours du Président Thomas Sankara à la tribune des Nations Unies qui est étudié et traité dans les amphithéâtres. Ce discours, cher monsieur « le Riche » et autres malfaisants du Burkina, est un sujet d’études dans les vraies écoles de Sciences politiques dans le monde. Rien à dire, rien à voir avec certaines « avaries sociales » autoproclamées femmes leaders qui gagneraient à perdre ces ventres qui traînent devant elles, à nourrir davantage leur l’intellect passablement cultivé, à renforcer leurs compétences approximatives en Sciences sociales. A ces dernières, je dis : regardez-vous dans la glace, si votre figure est ronde, brisez le miroir et suicidez-vous. Quand au Riche, je souhaite une vie de vampire, confiné dans l’obscurité et les ténèbres, calciné s’il s’aventure à la lumière du jour. Web master, ne me censure pas.


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