Enseignement primaire : Les syndicats annoncent une grève de 24h
1er octobre 2013, 12:24, par
Raguilsom
Bien dit mon frère LE PATRIOTE ! Le transfert du postprimaire et du préscolaire n’est pas un mal en soi. J’irais même plus loin en affirmant que les syndicats se trompent de combat. Sur le plan institutionnel, ils gagneraient à militer pour un ministère de l’éducation et de la recherche réunifiée quitte à ce que le gouvernement y nomme un ou deux ministres délégués. Les vrais défis se situe dans les options qui visent une véritable décentralisation de l’éducation avec pour mode de gestion la participation effective de tous les acteurs Etat, parents d’élèves, collectivités territoriales, société civile. Que du traitement inéquitable entre fonctionnaires et contractuels ? Des conditions de travail déplorables que vivent les enseignants du milieu rural et peri-urbain ? De la gestion opaque des ressources aussi bien au niveau central que déconcentré ? De plus, les syndicats eux-mêmes ont bien de choses à se reprocher : manque de transparence, crise de confiance entre dirigeants et militants, guéguerres inutiles et nuisibles entre syndicats etc.
Bien dit mon frère LE PATRIOTE ! Le transfert du postprimaire et du préscolaire n’est pas un mal en soi. J’irais même plus loin en affirmant que les syndicats se trompent de combat. Sur le plan institutionnel, ils gagneraient à militer pour un ministère de l’éducation et de la recherche réunifiée quitte à ce que le gouvernement y nomme un ou deux ministres délégués. Les vrais défis se situe dans les options qui visent une véritable décentralisation de l’éducation avec pour mode de gestion la participation effective de tous les acteurs Etat, parents d’élèves, collectivités territoriales, société civile. Que du traitement inéquitable entre fonctionnaires et contractuels ? Des conditions de travail déplorables que vivent les enseignants du milieu rural et peri-urbain ? De la gestion opaque des ressources aussi bien au niveau central que déconcentré ? De plus, les syndicats eux-mêmes ont bien de choses à se reprocher : manque de transparence, crise de confiance entre dirigeants et militants, guéguerres inutiles et nuisibles entre syndicats etc.