Bagrépôle : le gouvernement cherche à mettre les acteurs sur la même longueur d’onde
23 septembre 2013, 21:01, par
le pandoreau
Le gouvernement ne doit pas imposer les spéculations (dire ce qu’on doit semer). Un bon agriculteur est avant tout un bon spéculateur. Il arrive que sur 100 hectares repartis en 5 spéculations , ce soit une seule, celle sur 20 hectares qui permet à l’agriculteur de ne pas être en faillite. La spéculation fait parti des fondamentaux du bon agriculteur. Si le gouvernement veut un tonnage donné de maïs , qu’il propose en début de campagne des prix attractifs pour les agriculteurs qui le désirent. Ce sera un acte de souveraineté de sa part. Méfions nous dans ce domaine des gens qui savent tout et connaissent tout et sont des ’’ pseudo-spécialistes, des nullités scientifiques qui pensent pouvoir penser pour les principaux acteurs et qui ont déjà en tête les raisons d’un éventuel échec.
Le gouvernement ne doit pas imposer les spéculations (dire ce qu’on doit semer). Un bon agriculteur est avant tout un bon spéculateur. Il arrive que sur 100 hectares repartis en 5 spéculations , ce soit une seule, celle sur 20 hectares qui permet à l’agriculteur de ne pas être en faillite. La spéculation fait parti des fondamentaux du bon agriculteur. Si le gouvernement veut un tonnage donné de maïs , qu’il propose en début de campagne des prix attractifs pour les agriculteurs qui le désirent. Ce sera un acte de souveraineté de sa part. Méfions nous dans ce domaine des gens qui savent tout et connaissent tout et sont des ’’ pseudo-spécialistes, des nullités scientifiques qui pensent pouvoir penser pour les principaux acteurs et qui ont déjà en tête les raisons d’un éventuel échec.