Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Me Guy Hervé KAM : Pourquoi les pro-sénat ont tort sur toute la ligne.
10 septembre 2013, 10:42, par
LECOMMANDO
Mon chère ami Oadam, je suis stupéfait par ta réaction. En toute démonstration il faut partir de quelque chose pour aboutir au résultat que l’on veut ou au contraire. L’essentiel est d’avoir une démarche logique claire et compréhensible. en l’occurrence la démonstration de Maitre l’est à tel enseigne qu’il n’y a pas à redire. L’exemple des USA ou de la France montre effectivement qu’il est cultivé et toi tu as appris quelque chose aujourd’hui. Mais ce qu’il faut que tu retienne c’est ce qu’il voulait dire a tous, qu’il faut avoir une raison pour instaurer le sénat et actuellement ce n’est pas une urgence. Concernant enfin les institutions, j’ai l’impression que tu n’as pas lu du tout le document car si tu l’avais lu en intégralité tu aurais compris que nous fonctionnons avec des institutions irrégulières mais le peuple se porte bien jusqu’alors. Tu as du chemin à faire mon bonhomme.
Mon chère ami Oadam, je suis stupéfait par ta réaction. En toute démonstration il faut partir de quelque chose pour aboutir au résultat que l’on veut ou au contraire. L’essentiel est d’avoir une démarche logique claire et compréhensible. en l’occurrence la démonstration de Maitre l’est à tel enseigne qu’il n’y a pas à redire. L’exemple des USA ou de la France montre effectivement qu’il est cultivé et toi tu as appris quelque chose aujourd’hui. Mais ce qu’il faut que tu retienne c’est ce qu’il voulait dire a tous, qu’il faut avoir une raison pour instaurer le sénat et actuellement ce n’est pas une urgence. Concernant enfin les institutions, j’ai l’impression que tu n’as pas lu du tout le document car si tu l’avais lu en intégralité tu aurais compris que nous fonctionnons avec des institutions irrégulières mais le peuple se porte bien jusqu’alors. Tu as du chemin à faire mon bonhomme.