Cité des forces vives : Dori a le dos au mur

Les villes-capitales de région sont désormais toutes dotées de schéma d’aménagement urbain et de plan d’investissement. Les cites forcés vives y occupent quel rang en terme de priorité ? Trois fois rien. Et diable pourquoi continue-t-on cette bêtise des cites des forces vives ?
Au contraire d’une impulsion locale, elles constituent un goulot au pied des propritaires et de la cité, en ce qu’elles constituent une thésaurisation, non rentable pour personne, et un gâchis des faibles ressources financières locales mobilisées, a coups de "terreur politique".
Il est plus que temps d’abandonner cette bêtise.