Mali : Une journée qui débute dans la liesse et s’achève dans le grotesque.
16 août 2013, 21:36, par
fils
Mon frère de quelle armée malienne parle tu ? de ces lâches qui se sont enfermés à KATI pendant que français et tchadiens mouraient au front pour sauver leurs fesses crasseuses. N’eût été les errements de cet encéphalopathe de Diokounda ce Sanogo ne peut même pas prétendre au grade de lieutenant.
Mon frère de quelle armée malienne parle tu ? de ces lâches qui se sont enfermés à KATI pendant que français et tchadiens mouraient au front pour sauver leurs fesses crasseuses. N’eût été les errements de cet encéphalopathe de Diokounda ce Sanogo ne peut même pas prétendre au grade de lieutenant.