Lettre ouverte au Président du Faso : « Dans quel état souhaiteriez-vous laisser ce pays ? »
10 août 2013, 00:48, par
Ben
M. Ouédraogo, c’est déplorable de vous lire. je suis abattu par ces propos venant d’un soit disant étudiant en droit. De grâce, ne gâter pas le nom des juristes.
Je n’ai pas reçu mandat de la part du Président du Faso pour vous adresser un droit de réponse ; sinon j’aurais reprendre votre raisonnement ligne par ligne pour vous démontrer vos lacunes tant en français qu’en droit. Juste un minimum de considération pour le Président. Dans tous les cas il demeure pour l’instant le répondant légitime du peuple burkinabè.
C’est une aberration juridique de ne pas reconnaitre le principe constitutionnelle du sénat encore moins de dire qu’on peut ne pas appliquer la loi (en considérant les mouvements de contestation de certains groupuscules).
Je pense que la meilleure expression du peuple burkinabè, il l’a manifestée à travers la Constitution.
Atteler vous d’abord à vos études sinon pour l’instant vous ne faites qu’exposer vos insuffisances en droit.
M. Ouédraogo, c’est déplorable de vous lire. je suis abattu par ces propos venant d’un soit disant étudiant en droit. De grâce, ne gâter pas le nom des juristes.
Je n’ai pas reçu mandat de la part du Président du Faso pour vous adresser un droit de réponse ; sinon j’aurais reprendre votre raisonnement ligne par ligne pour vous démontrer vos lacunes tant en français qu’en droit. Juste un minimum de considération pour le Président. Dans tous les cas il demeure pour l’instant le répondant légitime du peuple burkinabè.
C’est une aberration juridique de ne pas reconnaitre le principe constitutionnelle du sénat encore moins de dire qu’on peut ne pas appliquer la loi (en considérant les mouvements de contestation de certains groupuscules).
Je pense que la meilleure expression du peuple burkinabè, il l’a manifestée à travers la Constitution.
Atteler vous d’abord à vos études sinon pour l’instant vous ne faites qu’exposer vos insuffisances en droit.