Lettre ouverte au Président du Faso : « Dans quel état souhaiteriez-vous laisser ce pays ? »
9 août 2013, 23:57, par
Lotè Prosper Gnoumou
Une des plus belles interpellations (sommation) que je n’ai rencontrées à l’endroit des titulaires du pouvoir séculaire et tyrannique sévissant au pays des "hommes intègres".
<< Vous(président du Faso) avez une responsabilité historique de ne pas mettre le pays dans une situation regrettable >>.
Y a t-il situation plus regrettable lorsque dans un pays , des individus s’arrogent le droit de vie ou de mort sur d’autres citoyens ? La preuve : Norbert Zongo assassiné puis brûlé , des individus continuent de boire tranquillement leur lait mieux ils narguent le peuple. Les recommandations du collège des sages n’ont pas été respectées , pire l’injustice et l’impunité sont montées en puissance.
Cette interpellation ou questionnement , je me permettrez de la poser en d’autres termes : << Les forces régulières de défense , accompagneront-elles ou assisteront-elles le peuple désarmé face à un danger mortel ? >>.
Un pouvoir accroché au bout du fusil ; tout à fait normal que des marches encore moins des bouts de papier (bulletin de vote) n’y peuvent rien !
Une des plus belles interpellations (sommation) que je n’ai rencontrées à l’endroit des titulaires du pouvoir séculaire et tyrannique sévissant au pays des "hommes intègres".
<< Vous(président du Faso) avez une responsabilité historique de ne pas mettre le pays dans une situation regrettable >>.
Y a t-il situation plus regrettable lorsque dans un pays , des individus s’arrogent le droit de vie ou de mort sur d’autres citoyens ? La preuve : Norbert Zongo assassiné puis brûlé , des individus continuent de boire tranquillement leur lait mieux ils narguent le peuple. Les recommandations du collège des sages n’ont pas été respectées , pire l’injustice et l’impunité sont montées en puissance.
Cette interpellation ou questionnement , je me permettrez de la poser en d’autres termes : << Les forces régulières de défense , accompagneront-elles ou assisteront-elles le peuple désarmé face à un danger mortel ? >>.
Un pouvoir accroché au bout du fusil ; tout à fait normal que des marches encore moins des bouts de papier (bulletin de vote) n’y peuvent rien !