Social : S.O.S pour Jules OUEDRAOGO

Je souhaite un prompt rétablissement à notre frère Jules. Cependant l’abre ne doit pas cacher la forêt en ce sens que je ne serais pas heureux plutard de savoir que nous nous sommes fait arnaquer. Il faut faire assez attention par ces temps qui courrent où tous les chemins sont bons pour parvenir à amasser le gombo. Je me repète en disant que je me permet de ne pas douter de la la sincèrité et de la franchise de la maladie de notre Jules. Il faudra déterminer un cadre digne de foi, pour collecter ces fonds destinés à apporter un espoir de vie à notre prochain. Je pense que des cas d’arnaques, nous en avons vus ou entendus parler, pourquoi ne pas faire attention même si pour cette fois-ci, c’est un jeune étudian, qui est victime. N’y a t-il pas des voix plus autorisées (les journaux de la place, l’association des étudiants du burkina, l’ordre des médecins, et que sais-je encore) pour aller aux devants de cette situation afin que les contributions puissent être collectées et dépensées selon les motifs de leur mobilisation (traitement sanitaire de Jules) ; Ici il y a eu des voix (DIASPO, vagabond, Fusée, DINA, Omar DEMBELE ...) qui se sont éleves pour annoncer soit des montants soit des propositions de collecte, soit d’autres moyens pour parvenir à sauver Jules. Pourquoi Le DIASPO enverra directement à Jules via western union et autres (et pas à moi). Et si c’était des complices de Jules qui s’annoncent déjà en grandes pompes pour apater les ames sensibles et les non avertis. Que le Seigneur daigne m’excuser si certaines personnes et même Jules lui-même comprennent bien la portée de mon post. Je me joint à tous les précédants ici pour dire que je contribueras avec un montant à ma discrétion si et seulement si une structure digne et reconnue se fait le plaisir de collecter lesdits fonds pour les besoins de la bonne cause (LA SANTE ET LA VIE DE NOTRE CHER FRERE). Je ne veux, par le présent post, lancer un discrédit ni blésser ni offenser ni douter de la sincérité des personnes, mais c’est for d’un précédent cas vécu que je me permet de tenter de reveiller des consciences endormies.