Un passage du discours m’amène à me poser des questions. Citation : « L’élément nouveau, le pont de la connaissance nouvelle entre nos deux mondes a été jeté par trois de nos frères d’Afrique Noire qu’ont été les présidents Kwamé N’Krumah, Sékou Touré et Modibo Keïta ; leurs noms constituent pour nous la meilleure des références » Fin de citation.
Si je me réfère à ce passage, j’ai l’impression que le discours a été retouché quelque part. Pourquoi, me suis-je demandé, Maurice YAMEOGO, parlerait-il de Kwamé N’Krumah, de Sékou Touré et de Modibo Keïta, au passé, alors que nous sommes en 1963. A ce que je sache, tous ces 3 ex présidents (aujourd’hui défunt) étaient encore de la partie ou peut-être étaient-ils même présents ce jour là, à Addis Abéba. Si cela s’avérait, quel crédit accorder alors à ce papier nous renvoyant à une époque encore récente de notre histoire que nous célébrons ? Attention au falsificateur de l’histoire.
Un passage du discours m’amène à me poser des questions. Citation : « L’élément nouveau, le pont de la connaissance nouvelle entre nos deux mondes a été jeté par trois de nos frères d’Afrique Noire qu’ont été les présidents Kwamé N’Krumah, Sékou Touré et Modibo Keïta ; leurs noms constituent pour nous la meilleure des références » Fin de citation.
Si je me réfère à ce passage, j’ai l’impression que le discours a été retouché quelque part. Pourquoi, me suis-je demandé, Maurice YAMEOGO, parlerait-il de Kwamé N’Krumah, de Sékou Touré et de Modibo Keïta, au passé, alors que nous sommes en 1963. A ce que je sache, tous ces 3 ex présidents (aujourd’hui défunt) étaient encore de la partie ou peut-être étaient-ils même présents ce jour là, à Addis Abéba. Si cela s’avérait, quel crédit accorder alors à ce papier nous renvoyant à une époque encore récente de notre histoire que nous célébrons ? Attention au falsificateur de l’histoire.