Le constat en lui même n’est pas nouveau. Ce qui peut être intéressant ici c’est las causes du manque d’intérêt des burkinabè (et non les jeunes seulement) pour la lecture. Et pour cela, je voudrais ajouter (je ne sais pas si le livre l’a abordé ou pas), le mode et la nature des évaluations à l’école burkinabé et surtout à l’université comme un facteur favorisant la paresse vis-à-vis de la lecture. En effet, lles enseignant eux-mêmes ne lisant pas (ou peu) ne conçoivent pas des sujets de devoirs qui necessitent des apports multi-ouvrages. Au contraire, c’est le rendu des cours de l’enseignant qui est favorisé. De telle sorte que l’étudiant qui "perd son temps à épuclcher des ouvrages" verra ses efforts non recompensés par une bonne note de son évaluateur. Or, l’étudiant cherche en priorité à valider son année acdémique. Il importe donc ici, à mon sens, d’interpeller les acteurs de l’éducation sur cet aspect des choses et y proposer des solutions.
Le constat en lui même n’est pas nouveau. Ce qui peut être intéressant ici c’est las causes du manque d’intérêt des burkinabè (et non les jeunes seulement) pour la lecture. Et pour cela, je voudrais ajouter (je ne sais pas si le livre l’a abordé ou pas), le mode et la nature des évaluations à l’école burkinabé et surtout à l’université comme un facteur favorisant la paresse vis-à-vis de la lecture. En effet, lles enseignant eux-mêmes ne lisant pas (ou peu) ne conçoivent pas des sujets de devoirs qui necessitent des apports multi-ouvrages. Au contraire, c’est le rendu des cours de l’enseignant qui est favorisé. De telle sorte que l’étudiant qui "perd son temps à épuclcher des ouvrages" verra ses efforts non recompensés par une bonne note de son évaluateur. Or, l’étudiant cherche en priorité à valider son année acdémique. Il importe donc ici, à mon sens, d’interpeller les acteurs de l’éducation sur cet aspect des choses et y proposer des solutions.