Appel à candidature : Recrutement en master 2 en management international, spécialité Affaires Internationales de l’Université Jean Moulin Lyon 3 (France)
23 mai 2013, 19:50, par
Alino
Contrairement à Manu, je trouve que cette formule de délocalisation de Jean Moulin à l’UO est la bonne car si les universités de la sous région sont dans l’état désastreux que l’on sait, il y a une part de responsabilité des enseignants qui ont tout mis en oeuvre pour rester à vie les seuls spécialistes de ceci ou de cela. Le résultat est que de nombreux titulaires du DEA sont réduits depuis une dizaine d’années au moins au statut d’enseignants à temps plein sans pouvoir faire la thèse faute d’encadrement (ayant personnellement bénéficié de la même formule dans un pays voisin, j’avoue avoir été très satisfait de l’expertise et surtout de l’honnêteté intellectuelle des enseignants français). Je pense plutôt qu’il revient à nos enseignants de se départir de leurs petites mesquineries pour faire face à cette concurrence du marché du savoir. Le problème à mon avis n’est pas de mutualiser quoi que ce soit, mais de se départir d’un état d’esprit négatif.
S’agissant du coût de la formation, je le trouve ajusté au niveau de vie de notre pays car le mien m’avait coûté 2 fois plus chers.
Contrairement à Manu, je trouve que cette formule de délocalisation de Jean Moulin à l’UO est la bonne car si les universités de la sous région sont dans l’état désastreux que l’on sait, il y a une part de responsabilité des enseignants qui ont tout mis en oeuvre pour rester à vie les seuls spécialistes de ceci ou de cela. Le résultat est que de nombreux titulaires du DEA sont réduits depuis une dizaine d’années au moins au statut d’enseignants à temps plein sans pouvoir faire la thèse faute d’encadrement (ayant personnellement bénéficié de la même formule dans un pays voisin, j’avoue avoir été très satisfait de l’expertise et surtout de l’honnêteté intellectuelle des enseignants français). Je pense plutôt qu’il revient à nos enseignants de se départir de leurs petites mesquineries pour faire face à cette concurrence du marché du savoir. Le problème à mon avis n’est pas de mutualiser quoi que ce soit, mais de se départir d’un état d’esprit négatif.
S’agissant du coût de la formation, je le trouve ajusté au niveau de vie de notre pays car le mien m’avait coûté 2 fois plus chers.