Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Grève des élèves : Des tables-bancs partent en fumée devant le lycée Zinda Kaboré
14 mai 2013, 00:19, par
Eric de kouria
Dans la patrie des hommes intègres ou du moins de qui en reste, -car voici depuis longtemps que la morale agonise, et que tout le monde se tait- les frustrations sont telles que la seule solution reste et demeure un sursaut national. Peuple du Burkina Faso, comme un seul homme, disons non à la « monarchisation » du pouvoir entrepris par ce régime. Boutons hors du pays, les parasites et les pro-impérialistes qui nous exploitent depuis un quart de siècle. Pendant que de milliers d´étudiants sont privés de bourse, on crée à coup de milliards une deuxième chambre, où l´on compte caser ceux qui sont responsables de nos malheurs. Pendant que de milliers d´élèves manquent de fournitures, les hommes du pouvoir envoient leurs rejetons faire des études dans des universités à l´étranger, lesquelles études sont payées par le contribuable Burkinabè quand ce n´est pas l´aide du pays qui est détournée. En avant pour une véritable alternance. En avant pour le changement. En avant pour la liberté. Malheur aux voleurs et à ceux qui bâillonnent et exploitent le peuple. La patrie ou la mort, nous vaincrons.
Eric de Kouria
Dans la patrie des hommes intègres ou du moins de qui en reste, -car voici depuis longtemps que la morale agonise, et que tout le monde se tait- les frustrations sont telles que la seule solution reste et demeure un sursaut national. Peuple du Burkina Faso, comme un seul homme, disons non à la « monarchisation » du pouvoir entrepris par ce régime. Boutons hors du pays, les parasites et les pro-impérialistes qui nous exploitent depuis un quart de siècle. Pendant que de milliers d´étudiants sont privés de bourse, on crée à coup de milliards une deuxième chambre, où l´on compte caser ceux qui sont responsables de nos malheurs. Pendant que de milliers d´élèves manquent de fournitures, les hommes du pouvoir envoient leurs rejetons faire des études dans des universités à l´étranger, lesquelles études sont payées par le contribuable Burkinabè quand ce n´est pas l´aide du pays qui est détournée. En avant pour une véritable alternance. En avant pour le changement. En avant pour la liberté. Malheur aux voleurs et à ceux qui bâillonnent et exploitent le peuple. La patrie ou la mort, nous vaincrons.
Eric de Kouria